• * 01 - Fête de saint Jacques

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    Fête de saint Jacques-le-Majeur

     * 01 - Fête de saint Jacques

    Introduction

    Chaque année, le 25 juillet dans le christianisme occidental, les Templiers fêtent Jacques-le-Majeur (qualificatif qui n’apparaît dans aucun texte biblique) qui est en réalité Jacques de Zébédée et que l’Eglise catholique appelle plus familièrement saint Jacques (en grec Ἰάκωβος, Iakôbos, de l'hébreu יעקב, Ya'aqov). Il n'est pas originaire de Compostelle et n'y serait jamais allé !

    Saint Jacques était un Juif de Galilée et l'un des douze apôtres de Jésus-Christ. Il est nommé « Jacques, fils de Zébédée » dans le Nouveau Testament. Il est le frère de l'apôtre Jean de Zébédée. Tous deux sont des pêcheurs du lac de Tibériade.

    Il s’appelait Yaakov ou Jacob Bar-Zebdi mais nous le connaissons plutôt comme Jacques le fils de Zébédée, Saint Jacques, Jacques le Majeur (pour le différencier de l’autre apôtre Jacques, le fils d'Alphée nommé le Mineur) ou Santiago en Espagne. D’après les récits chrétiens, il serait né vers l’an 5 avant J. – C. en Galilée, fils de Zébédée et de Marie Salomé et était le frère aîné de Jean, apôtre lui aussi. Marc nous raconte que son maître Jésus a surnommé les deux frères « boanerges », ce qui veut dire les « fils du tonnerre ». Les deux frères étaient pêcheurs, et c’est pendant leur travail sur le lac de Génésareth, qu’ils ont été appelés par Jésus de Nazareth pour le suivre. Notons qu’ils sont parmi les premiers disciples et les plus appréciés par le Maître.

    Les « Jacques » du Nouveau Testament

    Plusieurs personnages se prénomment Jacques dans le Nouveau Testament.

    • Jacques de Zébédée, l'un des Douze, frère de l'apôtre Jean ;
    • Jacques d'Alphée, un autre des Douze, souvent mis en rapport avec Thaddée et surnommé Jacques-le-Mineur dans la tradition romaine ;
    • un autre Jacques, faisant lui aussi partie des Douze, et qui serait le père ou le frère de l'apôtre Jude (mais il reste quasiment inconnu et la tradition ne l'a pas étudié) ;
    • enfin, Jacques le Juste, « frère » (ou, selon l'Église latine, cousin) de Jésus, qui joue un rôle considérable dans l'Église de Jérusalem.

    Dans le Nouveau Testament sont mentionnés d’autres Jacques, sans précision d’identité :

    • Jacques, frère de Jude, rédacteur de l’Epître de Jude;
    • Jacques, le père de Jude apôtre, mentionné dans les Actes des apôtres.
    • Il convient d'ajouter le rédacteur de l'Épître de Jacques, qui ne correspond à aucun des personnages précédents et semble plutôt être un « chrétien cultivé d'origine païenne de la deuxième ou de la troisième génération chrétienne », le texte datant de la fin du 1er siècle ou du premier tiers du 2ème siècle !

    A d’autres Jacques (ou aux mêmes) sont attribués des textes qui n’ont pas été retenus dans le Canon de l’Eglise : le « Protévangile » de Jacques, les « Actes de Jacques ».

    Nos esprits rationalistes d’aujourd’hui ont besoin de définitions claires, mais les textes canoniques ne nous les apportent pas et encore moins les nombreux écrits apocryphes ou légendaires. De plus, les sources les plus sûres ont été interprétées différemment selon les époques et les lieux.

    Jacques de Zébédée dans le Nouveau Testament

    Jacques de Zébédée, ou Jacques-le-Majeur, est mentionné dans les Évangiles synoptiques (par exemple en Mc 3:17, Mt 10:2 et Lc 6:14) ainsi que dans les Actes des Apôtres (Ac 1:13). Il est le frère de l'apôtre Jean, et tous deux sont surnommés Boanerges, ce qui d'après l'Évangile selon Marc veut dire « fils du tonnerre » (Mc 3,17).

    Le plus ancien des Évangiles, celui de Marc, présente les deux frères comme des pêcheurs du lac de Tibériade qui laissent leur barque pour suivre Jésus, épisode repris par Matthieu et Luc. Avec Pierre et son frère André, Jacques et Jean faisaient donc partie du groupe de pêcheurs parmi lesquels Jésus choisit ses quatre premiers disciples.

    Selon les Évangiles, les quatre amis répondirent « immédiatement » à l’appel de Jésus et quittèrent aussitôt l'entreprise familiale pour suivre le « Maître de Galilée ». Pierre, Jacques et Jean deviendront des intimes de Jésus et seront souvent conduits à l'écart des autres disciples.

    Frère de l’apôtre Jean, saint Jacques fut l’un des plus proches disciples de Jésus et l’un des premiers martyrs de l’Église catholique. La Bible le mentionne habituellement sous le prénom de Jacob, transcrit en latin Iacobus et plus tard, en espagnol, Iago, Tiago et Santiago (sanctus Iacobus) et, en français, Jacques.

    Membre d’une famille de pêcheurs et frère de saint Jean l’Évangéliste, tous deux surnommés Boanerges (« fils du tonnerre ») en raison de leur caractère impétueux, il appartient au groupe des trois disciples privilégiés qui ont été les plus proches de Jésus. Cette place prépondérante que Jacques tient auprès de Jésus est due non seulement au fait qu'il a fait partie de ses premiers disciples, mais également à son caractère. Le Nouveau Testament décrit un homme passionné, audacieux, ambitieux et décidé. Comme il partage cette personnalité avec Jean, Jésus donnera aux deux frères le surnom de « fils du Tonnerre ». De nombreux épisodes des évangiles révèlent ce caractère fougueux.

    Avec Pierre et son frère André, Jacques est donc l'un des tout premiers disciples de Jésus, et l'un de ses plus proches. La tradition synoptique le montre qui assiste, avec Pierre et Jean, à des événements comme la résurrection de la fille du chef de la synagogue, la Transfiguration ou la prière de Jésus au mont des Oliviers. Cependant, à l'instar des autres apôtres, il abandonne Jésus quand celui-ci est arrêté. Jacques est également cité parmi les disciples qui se trouvent dans la chambre haute lors de la descente de l'Esprit (Ac 1:13).

    De ce fait, Jacques a été présent dans les épisodes les plus importants racontés par les Évangiles. Il a été un des trois apôtres qui ont assisté à la transfiguration (métamorphose) de Jésus, lorsqu’il se transforme pour montrer sa nature divine entre les prophètes Elie et Moise. Il a été également témoin de la prière au jardin des Oliviers avec Pierre et son frère. Après la résurrection, il se trouvait dans le petit groupe qui a vu Jésus au lac de Tibériade et participé à la pêche miraculeuse. Les Actes des Apôtres racontent qu’il reçoit le Saint Esprit sous la forme de langues de feu lors de l’épisode de la pentecôte (vers l’an 33). C’est à partir de ce moment-là qu’il va prendre son bâton, ainsi que le bateau, et parcourir les chemins pour évangéliser l’occident.

    Vie de saint Jacques-le-Majeur

    Selon la tradition, l'Espagne aurait été dévolue à Jacques-le-Majeur pour qu’il l'évangélisât. Mais sa prédication en ces terres aurait été un échec : une tradition espagnole rapporte que sur les rives du fleuve Ebre, l'apôtre, découragé, aurait pleuré ; la Vierge lui serait apparue, portée par des anges, pour l'inciter à persévérer.

    Un autre lieu est lié à l'intervention de la Vierge dans ce même but : à Muxia, le sanctuaire de Nostra Señora de la Barca indique l'endroit où elle aurait débarqué pour aider l'apôtre dans sa mission.

    Après la mort de Jésus, Jacques-le-Majeur fit partie du groupe fondamental de la « Première Église de Jérusalem ». C'est pourquoi Hérode Agrippa le choisira, de même que Pierre, comme figure représentative de cette Église pour donner un châtiment exemplaire à la communauté chrétienne : il le fit décapiter par l’épée aux alentours des années 41 – 44.

    Sa mort est rapportée dans le Nouveau Testament : « Il (Hérode) fit périr par le glaive Jacques, frère de Jean » (Ac 12:2), au moment de l'arrestation de Pierre. En effet, l’apôtre saint Jacques fut torturé et décapité en l’an 42 sur l’ordre d’Hérode Agrippa I, roi de Judée. Ainsi, saint Jacques Zébédée ou saint Jacques-le-Majeur est l’un des premiers disciples à verser son sang et à mourir pour le Christ Jésus.

    La tradition prend ici le relais des Saintes Écritures. Les disciples de saint Jacques auraient alors recueilli sa dépouille pour la déposer dans une barque, qui aborda en Galice, à Padrón.

    Le corps fut enterré dans un compostum, c'est-à-dire un « cimetière » (telle est l'une des étymologies du nom de « Compostelle ») et resta ignoré jusqu'à ce qu'au début du 9ème siècle, le 25 juillet 813, une étoile ne vînt indiquer à un ermite du nom de Pelayo (Pélage) l'emplacement de la sépulture, appelé dès lors « campus stellae » ou « champ de l’étoile » ce qui aurait donné, selon une autre étymologie, plus poétique, le mot « Compostelle ».

    Alphonse II le Chaste érigea, à côté du tombeau, une église et un monastère. C'est autour de ces édifices primitifs que naquit Saint-Jacques-de-Compostelle.

    Légendes ultérieures

    Selon une légende, Jacques partit avec quelques disciples, pour l’Espagne pendant quatre années et plus particulièrement vers la cité de Gadès (l’actuelle Cadix), où le travail d’évangélisation rencontra de multiples obstacles et difficultés.

    Selon une tradition chrétienne transmise à partir des Catalogues apostoliques, textes apocryphes grecs rédigés vers le commencement du 7ème siècle et remaniés en latin dans le breviarium apostolorum (« l’abrégé » ou « bréviaire des Apôtres »), il ne réussit à convertir que neuf disciples.

    Pour Bernard Gicquel, le thème de cette prédication en Espagne serait en fait une contamination ultérieure de cette tradition avec celle du voyage espagnol d'évangélisation de saint Paul alors que les catalogues ne mentionnent jamais l'Espagne.

    Après un voyage de six mois à Rome où il fut brièvement emprisonné, il revint à Gadès. Le nombre de disciples y avait notablement augmenté à la suite d'une immigration. Jacques poursuivit son apostolat à Caesaraugusta (l’actuelle Saragosse), où il obtint des conversions massives. Il continua son évangélisation par la Galice se dirigeant vers Compostelle.

    À la suite d'une nouvelle persécution à Jérusalem, Jacques retourna vers cette ville avec sept disciples pour soutenir la communauté de croyants. C'est à cette occasion, selon « La Légende dorée », qu'il affronta et convertit le magicien Hermogène. Il fut tué « par l'épée » dans un endroit inconnu de Palestine et son exécution provoqua un soulèvement populaire.

    Selon la tradition des Catalogues Apostoliques, le lieu d'inhumation de saint Jacques fut l’Achaia Marmarica (expression grecque qu'on interprète comme la région égyptienne de Marmarique, confusion probable avec saint Jacques le Mineur dont la tradition mentionne qu'il est crucifié en Basse-Égypte) qui aurait été déformé dans la traduction latine en « arca marmorica », signifiant « tombeau de marbre ». Or, la colline dominant Compostelle où fut trouvé dans une nécropole chrétienne le prétendu tombeau de Jacques par le moine Pélage vers 810 s'appelait Arcis marmoricis.

    État de la recherche

    Selon l'état actuel de la recherche, il n'y a en dehors du Nouveau Testament aucune preuve de l'historicité de Jacques. De fait, il n'existe aucune indication à la présomption que Jacques ait effectivement séjourné dans la péninsule ibérique.

    La source la plus ancienne qui mentionne un séjour en Espagne, le Breviarium Apostolorum d'environ 600, où il est seulement affirmé qu'il avait prêché en Espagne et « à des endroits occidentaux ». Cette idée a été par la suite reprise par divers auteurs (dont Isidore de Séville, Aldhelm de Sherborne et Beatus de Liébana), mais pas développée. C'est seulement dans l'hymne O dei verbum patris ore proditum de la fin du 8ème siècle que Jacques est appelé saint et protecteur de l'Espagne.

    L'affirmation selon laquelle les os de Jacques ont été apportés en Espagne apparaît pour la première fois dans des documents du 9ème siècle, se référant à la découverte de la tombe présumée de l'apôtre sous le roi Alphonse II des Asturies (791-842) qui est à dater d'après 818. Cette affirmation n'est pas considérée par la recherche comme crédible, car depuis la fin de l'antiquité et pendant toute la période du royaume wisigoth dans la péninsule ibérique, qui a duré jusqu'à la période 711-719, aucune sépulture de l'apôtre en Espagne n'a jamais été mentionnée.

    Jacques et Jean, les deux frères proches de Jésus

    Dans les textes canoniques, les deux frères apparaissent dans plusieurs événements importants de la vie de Jésus. Ils sont avec lui lors de la résurrection de la belle-mère de Pierre (Mc.1 29 sq) et celle de la fille de Jaïre (Lc.8, 51 Mc.5, 37).

    Avec Pierre, ils assistent à la Transfiguration au mont Thabor (Mc.9, 1 Mt.17, 1)

    Avant la Passion ils font partie du petit groupe (Pierre, André, Jacques, Jean) qui recueille un enseignement particulier, «à l’écart» (Mc.13, 3-4).

    Avec Pierre encore, ils sont invités à veiller pendant l’agonie de Jésus à Gethsémani  sur le mont des Oliviers (Mc.14, 33 Mt.26, 37).

    Luc rapporte que les deux frères se prévalent de la capacité de commander le feu du ciel : Jésus envoie des messagers pour préparer son entrée dans un village de Samarie. « Mais on ne l'accueillit pas… Voyant cela les disciples Jacques et Jean dirent: - Seigneur, veux-tu que nous disions que le feu tombe du ciel et les consume ? » (Luc 9, 51-56). Mais Jésus les réprimanda.

    Encouragée peut-être par les faveurs dont ils jouissent, leur mère réclame pour eux des places privilégiées (Mat. 20, 20). Dans l’Évangile de saint Marc, ce sont les deux frères eux-mêmes qui font cette demande (Mc.10, 35). Mais Jésus leur dit « qu’ils ne savent pas ce qu’ils demandent » et qu’ils auront « à boire à sa coupe ».

    Jacques sera d’ailleurs le premier apôtre à imiter son maître en acceptant le martyre : Hérode « supprima par le glaive Jacques le frère de Jean » (Ac 12,2).

    L’apôtre saint Jacques a été présent aux moments les plus importants de la vie du Messie chrétien – la Transfiguration au mont Thabor et l’Agonie dans le jardin des oliviers — et il fut témoin de son dernier miracle, son apparition, ressuscité, aux bords du lac de Tibériade. Après la Résurrection, saint Jean nous les montre encore avec quelques disciples au bord du lac de Tibériade pour une pêche miraculeuse au petit matin (Jn.21, 2sq).

    Après la mort de Jésus, saint Jacques, passionné et impétueux, a fait partie du groupe initial de l’Église primitive de Jérusalem et il fut envoyé évangéliser, selon les traditions médiévales, l’Espagne et plus précisément la région du nord-ouest, connue alors sous le nom de Gallaecia. Certains récits soutiennent que le patron actuel de l’Espagne est arrivé aux terres du nord en passant par la côte dépeuplée du Portugal. D’autres théories suggèrent, en revanche, qu’il aurait suivi la vallée de l’Èbre et emprunté la voie romaine cantabrique. Enfin, certains affirment même que saint Jacques a gagné la Péninsule ibérique en passant par l’actuelle Cartagena. Il constitua un groupe de sept hommes apostoliques, qui furent ordonnés évêques par saint Pierre à Rome et eurent pour mission d’évangéliser les terres d’Hispanie.

    L’apôtre saint Jacques revint à Jérusalem, selon les textes apocryphes, pour accompagner la Vierge sur son lit de mort en la compagnie des grands disciples de Jésus. Les testaments apocryphes racontent qu’avant de mourir Marie reçut la visite de Jésus ressuscité. Elle lui demanda de passer ses derniers jours entourée des apôtres qui étaient dispersés aux quatre coins du monde. Son fils lui permit de prévenir elle-même les disciples par le biais d’apparitions miraculeuses. Ainsi, la Vierge apparut à l’apôtre saint Jacques et aux sept hommes sur un pilier de marbre à Saragosse, un épisode qui aujourd’hui est vénéré en la basilique Nuestra Señora del Pilar.

    Autre légende

    Une légende raconte que les sept disciples profitèrent de la nuit noire pour prendre la fuite et qu’ils mirent le corps de l’Apôtre dans une barque qui les conduisit jusqu’en Galice où ils arrivèrent à travers le port d’Iria Flavia (aujourd’hui, Padrón). Les hommes déposèrent son corps sur un rocher – qui céda et céda jusqu’à se transformer en sarcophage saint — le temps de demander à la reine païenne Lupa, qui gouvernait les terres où se trouve aujourd’hui Compostelle un endroit pour enterrer saint Jacques. La reine accusa les nouveaux venus de pêcher par orgueil et les envoya à la cour du roi Duyos, ennemi du christianisme. Celui-ci les emprisonna. Selon la tradition, un ange – dans d’autres récits, un éclat lumineux et étoilé — libéra les sept hommes et, dans leur fuite, un nouveau miracle fit périr les soldats qui courraient après eux sur le pont. Mais ce ne fut pas le seul contretemps que les hommes durent affronter. Les bœufs capturés sur l’ordre de la reine pour tirer la charrue qui allait transporter le corps de saint Jacques à Compostelle étaient en réalité des taureaux sauvages qui devinrent miraculeusement  très dociles. Lupa, stupéfaite par tant de miracles, se convertit au christianisme, ordonna la démolition de tous les lieux de culte celtes et offrit son palais pour enterrer l’Apôtre. C’est sur cet emplacement que se dresse aujourd’hui la cathédrale de Saint-Jacques.

     Synthèse de recherches mise en page par le Frère André B.

    Sitographie

    http://www.pelerin.com/Pelerinages/Chemin-de-Saint-Jacques-de-Compostelle/Tout-savoir-sur-le-chemin-de-Saint-Jacques-de-Compostelle/Vie-de-saint-Jacques-le-Majeur

    http://www.saint-jacques.info/queljacques.htm

    https://vivecamino.com/fr/le-pelerinage/qui-etait-saint-jacques/

    http://www.via-compostela.com/fr/la-vie-de-saint-jacques

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_de_Z%C3%A9b%C3%A9d%C3%A9e

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    https://www.bible-service.net/extranet/current/pages/870.html

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Prot%C3%A9vangile_de_Jacques

    http://livres-mystiques.com/partieTEXTES/Apocryphes/protevan.html

    https://www.universalis.fr/encyclopedie/protevangile-de-jacques/

    http://www.bibliquest.net/Hole/Hole-nt20-Jacques.htm

     

    Bibliographie

    Robert Beylot, Jacques-Noël Pérès et Pierluigi Piovanelli

    Prédication de Jacques fils de Zébédée et Martyre de Jacques fils de Zébédée

    dans

    Pierre Geoltrain et Jean-Daniel Kaestli

    Écrits apocryphes chrétiens II

    Editions Gallimard, Paris, 2005, p. 933-957

     

    André Benoit

    Les personnages de l'Évangile nommés Jacques

    dans

    Pierre Geoltrain (dir.)

    Aux origines du christianisme

    Folio/Histoire, 2000

     

    David P.

    Etudes sur le Livre de Saint-Jacques attribué au pape Calixte II

    Bulletin des Etudes Portugaises et de l'Institut Français au Portugal, t.XI, 1947, p.137

     

    Durand Guillaume

    Le racional des divins offices à l’honneur de N.S. Jésus-Christ

    Paris, 1503 – réédition Paris, 1854, 5 vol., vol. I, p. 67

     

    Duchesne L.

    Les anciens recueils de légendes apostoliques

    Actes du 3ème congrès scientifique international catholique (1894)

    Bruxelles, 1895, p. 8

     

    Prieur Jean-Marc

    Éd. du Cerf, Cahier Évangile n° 148 (juin 2009)

    « Les écrits apocryphes chrétiens », pages 32-34


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