• * 04 - Présentation de l'Apocalypse

    Présentation de l'Apocalypse de saint Jean

     * Présentation de l'Apocalypse de saint Jean

    L’Apocalypse fait appel à bien des allégories et des symboles qui mériteraient à eux seuls des séminaires de formation sans lesquels l’essentiel du message n’est pas accessible.

    C’est pourquoi je me suis permis de réaliser ce très modeste parchemin afin de vous aider, mes Frères, mes Sœurs, dans l’approche difficile de cette œuvre mystérieuse et pourtant porteuse d’enseignement pour nous tous.

    Le but de ces quelques pages est d’aider toutes celles et tous ceux qui souhaitent étudier sérieusement la Parole, à comprendre la structure de l’Apocalypse, car il est peu de livres qui composent la Bible où l’œuvre humaine de la division par chapitres soit plus défectueuse.

    Il n’est donc pas question ici de donner une explication de détail. Je ne m’en sens d’ailleurs pas capable et ce ne serait que répéter ce que d’autres ont fait abondamment.

    Je souhaiterais, autant que possible, me limiter à l’énumération des divers sujets qui composent ce livre, en y ajoutant ici et là quelques remarques peu connues qui me paraissent utiles. Ces pages ne sont donc qu’une présentation succincte de l’Apocalypse. Je reconnais que beaucoup de choses y sont le plus souvent affirmées sans preuves à l’appui. Il ne s’agit donc pas d’une étude scientifique ! Loin de là.

    Le but de ce parchemin dans le cadre de ce séminaire de formation, est donc de tenter de vous présenter l’Apocalypse de Jean.

     * Présentation de l'Apocalypse de saint Jean

    L'Apocalypse, dernier livre de la Bible, jouit d'une réputation détestable : on veut généralement y trouver l'annonce prophétique des catastrophes qui annonceront la fin du monde.  C'est un total contresens. Il n'est besoin, pour s'en convaincre, que de lire les premiers mots du livre : « Apocalypse de Jésus-Christ » et, un peu plus loin : « Heureux celui qui lit (ces paroles)... ».

    Le livre est donc un écho de l'Évangile de Jésus-Christ et c'est un message de bonheur.

    Il faut pourtant reconnaître qu'on y trouve des descriptions étonnantes et des nombres bien mystérieux. Ce ne sont pas des indications codées invitant à des identifications passées, présentes ou à venir, ni à des calculs chronologiques. Il s'agit d'un langage symbolique emprunté aux prophètes de l'Ancien Testament et dont il faut saisir la signification.

    L’Apocalypse est un livre surréaliste, dirait-on aujourd’hui. Codé, en tout cas, par des nombres, des couleurs, des objets et des personnages symboliques.

     * Présentation de l'Apocalypse de saint Jean

    Osons une tentative de définition !

    L’Apocalypse est le dernier livre de la Bible chrétienne. Cette œuvre est un texte dû à saint Jean l'Évangéliste qui vient ponctuer le Nouveau Testament. Il se distingue des Évangiles et des Actes des apôtres par un symbolisme beaucoup plus poussé. Saint Jean relate ici des révélations qui lui auraient été faites après la mort du Christ.

    Étymologiquement, Apocalypse est la transcription d’un terme grec (ἀποκάλυψις, apokalupsis) qui lui-même traduit l’hébreu nigla lequel signifie mise à nu, enlèvement du voile ou révélation.

    Le livre commence en effet par les mots « Révélation de Jésus-Christ » (Ap 1,1). C'est en ce sens que le texte présente la personne de Jésus-Christ à son retour sur terre et les événements l'entourant.

    Le livre prophétise aussi bien sur ce qui est arrivé, sur ce qui arrive, que sur ce qui doit arriver plus tard.

    La Parole de Dieu a une efficacité qui dépasse les limitations humaines. Elle ne vieillit pas et ce qu'elle accomplit demeure à jamais : Dieu est, selon l'Apocalypse, celui qui était, qui est et qui vient.

    Si l’Apocalypse de Jean est généralement la seule apocalypse reconnue dans le Nouveau Testament, l'apocalyptique fut un genre littéraire particulièrement développé dans l'Ancien Testament, dans le livre de Daniel notamment.

     * Présentation de l'Apocalypse de saint Jean

    Tentons de mieux cerner l’auteur et la datation de sa rédaction !

    Dès le deuxième siècle, ou le début du troisième, une large communauté (saint Justin, saint Irénée, le Canon de Muratori, Clément d'Alexandrie, Tertullien) mais aussi la plupart des auteurs ecclésiastiques du monde antique (Tertullien, Hippolyte et Victorius) ont attribué ce livre à l'apôtre Jean.

    Ainsi, Irénée de Lyon et Justin de Naplouse, également connu sous le nom de Justin Martyr, ont affirmé que Jean est revenu à Éphèse après sa détention à Patmos et qu'il y a vécu jusqu'au début du règne de Trajan, soit en l'an 98. Certains pensent que le texte aurait été écrit en l'an 95, époque où l'empereur Domitien lança de nombreuses persécutions contre les chrétiens. Jean aurait été exilé à Patmos par mesure d'intimidation et aurait écrit ce livre sans aide. En comparaison des autres écrits de Jean pour lesquels il aurait été aidé (son Évangile et ses Épîtres, dont notre Frère Philippe nous a parlé) : la pauvreté du style de l'Apocalypse confirmerait cette version. Le style d'écriture reste tout de même proche entre le livre de l'Apocalypse et l'Évangile de Jean.

    Selon une autre hypothèse, certains commentateurs (comme Wetscoot, Lightfoot ou William Salmon) ont pensé que Néron était responsable de l'emprisonnement de Jean dans l'île de Patmos. Alors l'Apocalypse aurait été rédigée pendant son règne et avant la chute de Jérusalem, c’est-à-dire vers l'an 70, période que proposaient également Clément d'Alexandrie, Origène et Jérôme.

    Eusèbe (Né vers 270 – Décédé vers 340) et d'autres Pères de l’Église attribuaient ce livre à Jean l'Ancien, qui aurait été évêque d'Éphèse à la fin du 1er siècle. D'autres, comme saint Denis d'Alexandrie (milieu du 3ème siècle), contestaient que Jean en soit l'auteur pour des raisons stylistiques. Cette controverse est obscurcie par le fait que, dans ses épîtres, Jean l'apôtre se nomme seulement Jean l'Ancien ou Jean le Presbytre (cf. 2 Jn 1 et 3 Jn 1).

    La théologie orthodoxe a pris parti dans ce débat lorsque les moines orthodoxes de Patmos ont solennellement fêté le dix-neuvième centenaire de la rédaction de l'Apocalypse en 1995.

    Mais comment se présente l’Apocalypse ?

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    Présentation globale des chapitres de l’Apocalypse

    • Les chapitres 1à 3 contiennent l'introduction du livre et les lettres aux sept Églises d'Asie.
    • Les chapitres 4 à 5 sont le compte–rendu de visions reçues par l'auteur montrant la majesté et la puissance de la justice de Dieu et du Christ.
    • Aux chapitres 6 à 9 ainsi que dans le 11ème, Jean raconte avoir vu un livre scellé de sept sceaux, sceaux représentant mille années de l'histoire temporelle de la terre. Ces chapitres traitent avant tout des événements contenus dans le septième sceau.
    • Le chapitre 10 parle d'un livre avalé par Jean.
    • Le chapitre 12 rapporte la vision du mal qui commença dans le ciel lorsque Satan se rebella et fut chassé. La guerre qui commença là-bas continue à faire rage sur la terre.
    • Aux chapitres 13 puis 17 à 19, Jean décrit les royaumes terrestres pervers dominés par Satan et leur sort, ainsi que la destruction finale du mal.
    • Les chapitres 14 à 16 décrivent la justice des saints au milieu du mal, juste avant la seconde venue du Christ.
    • Les chapitres 20 à 22 décrivent le millénium, la création d'une deuxième terre et la nouvelle Jérusalem.

    Je vais à présent tenter de vous aider à comprendre le sens du mot « Apocalypse » !

     * Présentation de l'Apocalypse de saint Jean

    Le sens du mot « Apocalypse »

    Aujourd’hui, le mot « apocalypse » a très mauvaise presse ! Pour nous, il est synonyme d’horreur… alors que c’est tout le contraire !

    Commençons donc par redonner au mot « apocalyptique » son vrai sens : on se rappelle que « apokalupô », en grec, signifie « lever le voile », c’est le même mot que « revelare » (en latin) – « révéler » en français ! Il faut donc traduire « texte apocalyptique » par « texte révélation ».

    Le grec littéraire que l’on appelle « apocalyptique » a au moins quatre caractéristiques tout à fait particulières :

    - Premièrement, les Apocalypses sont des livres pour temps de détresse, généralement de guerre et d’occupation étrangère doublée de persécution. C’est particulièrement vrai pour le livre de Daniel et pour l’Apocalypse de Jean. Dans ce cas, ils évoquent les persécuteurs sous les traits de monstres affreux. Et c’est pour cela que le mot « apocalypse » a pu devenir synonyme de personnages et d’événements terrifiants.

    - Deuxièmement, parce qu’ils sont écrits en temps de détresse, ce sont des livres de consolation pour conforter les croyants dans leur fidélité et leur donner, face au martyre, des motifs de courage et d’espérance. Et ils invitent les croyants justement à tenir bon.

    - Troisièmement, ils « dévoilent », c’est-à-dire » « ils lèvent le voile », « ils révèlent », la face cachée de l’histoire. Ils annoncent la victoire finale de Dieu : de ce fait, ils sont toujours tournés vers l’avenir. Malgré les apparences, ils ne parlent pas d’une « fin du monde », mais de la transformation du monde. Quand ils décrivent un chamboulement cosmique, ce n’est qu’une image symbolique du renversement complet de la situation. En un mot, leur message c’est : « Dieu aura le dernier mot ».

    - Quatrièmement, enfin, dans l’attente de ce renouvellement promis par Dieu, ces textes invitent les croyants à adopter une attitude non pas d’attente passive, mais de vigilance active : le quotidien doit être vécu à la lumière de cette espérance.

    J’en viens à présent au volet de l’interprétation.

     * Présentation de l'Apocalypse de saint Jean

    Interprétations

    L'Apocalypse est certainement le livre le plus controversé des Écritures, ce qui est dû à la diversité des interprétations, et aux oppositions qu'elles soulèvent. Le langage hautement symbolique de ce livre a ouvert la voie à de très nombreuses interprétations, qui diffèrent selon les sensibilités et les époques. Cependant on retrouve en général cinq grands courants.

    1. La thèse idéaliste voit l'Apocalypse comme un combat entre les forces du bien et celles du mal. Tout est affaire de symbole. Parmi les adeptes de cette interprétation, on peut noter Clément d'Alexandrie et Origène (3ème siècle).

    2. La thèse prétériste (praeter : avant) considère l'Apocalypse comme un livre d'histoire y retrouvant des événements comparables à ceux survenus durant la guerre de Judée (1er siècle).

    3. La thèse présentiste ou historique fait le rapprochement de l'actualité et des événements décrits dans le texte. On note de nombreux personnages illustres ayant soutenu cette vision, comme Wycliffe, Luther, Joseph Mede ou encore Isaac Newton.

    4. La thèse futuriste voit dans ce livre une peinture des événements à venir, une prophétie. Cette dernière conception confère un aspect déroutant aux événements du présent.

    5. La thèse mystagogique, la plus permanente dans l'exégèse, qui voit dans ce livre une description de l'Église elle-même, dans sa liturgie, en tant que Jérusalem Céleste. À ce titre, ce qui y est dévoilé correspond aussi aux aspects de l'Église terrestre qui n'est que son reflet en perpétuel devenir (sa liturgie, ses sacrements, ses temps - y compris ses derniers temps !).

    Divers commentateurs chrétiens modernes considèrent que les thèses historique et futuriste sont toutes les deux valables. La supposition de départ est que, étant donné que l'Apocalypse traite du jugement du monde, elle ne peut pas être limitée à un regard actuel sur les événements entourant Jean vers le milieu du 1er siècle (au temps de Néron).

    En même temps, il serait exagéré de penser que Jean aurait écrit ce texte uniquement à destination de lecteurs du futur, fût-ce plusieurs siècles dans l'avenir, sans qu'il n'eût d'intérêt pour ses contemporains. Cette approche suppose donc que l'Apocalypse comportait un message à destination de ses contemporains, mais en même temps qu'elle revêtait un caractère prophétique, concernant les « temps de la fin ».

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    Commentaires à propos du sens général de l’Apocalypse

    Le texte de l'Apocalypse comprend deux parties. La première, assez brève, est une sorte d'introduction intitulée « Lettres aux Eglises d'Asie ». Cette partie n'est pas la plus intéressante et n'a pas été très exploitée sur le plan artistique. La seconde partie est intitulée « Visions prophétiques ». C'est elle qui devrait nous intéresser le plus.

    1. L’Apocalypse est un livre prophétique.

    Il semble à peine nécessaire de le dire, mais on est obligé de l’affirmer en présence des aberrations incroyables que l’explication de ce livre a fait naître.

    Toute prophétie de l’Écriture (2 Pierre 1:20) peut avoir dans le temps présent son accomplissement partiel, mais aucune ne s’y arrête. Toutes sont en vue du temps de la fin. L’Apocalypse elle-même traite, par exemple dans les sept églises, de la dispensation actuelle, mais la conduit jusqu’à la venue de Christ et au rejet définitif de l’église professante, ni l’une ni l’autre n’ayant encore eu lieu. Tout ce qui suit cette venue et ce rejet, c’est-à-dire la troisième grande division de l’Apocalypse, ne concerne pas les temps actuels, sinon par de faibles analogies. Comme livre prophétique, l’Apocalypse traite de la ruine finale de notre dispensation et de ce qui arrivera pour que cette dernière fasse place au règne glorieux de Christ.

    2. L’Apocalypse est un livre de jugements.

    Le Christ s’y révèle comme juge de l’Église responsable et du monde.

    À ce fait, s’en rattache un autre. L’Apocalypse est dans un sens le livre de la venue de Jésus-Christ. Il ne s’agit pas, sauf occasionnellement (3:11), et dans les derniers versets du livre qui ne font point partie de la prophétie, de la venue du Seigneur pour son Église, mais de sa venue en jugement, deuxième acte de sa venue dans le Nouveau Testament. Cette venue a pour but l’établissement du règne du Seigneur et le jugement est le moyen de l’introduire.

    3. L’Apocalypse est un livre symbolique.

    Le symbole enferme « une pensée infinie dans une forme limitée ». Il est donc nécessaire, pour nous faire saisir un ensemble immense de vérités, que nous ne pourrions en aucune manière embrasser sans lui. Le symbole nous présente tantôt un être vivant, ange, homme, animal, ou un groupe d’êtres vivants, ou un objet inanimé, ou un groupe d’objets destinés à nous présenter certaines qualités morales dont l’ensemble nous échapperait sans cela. Tout est symbole dans l’Apocalypse. Citons seulement l’Agneau, les anciens, la femme et le fils mâle, la prostituée, les deux témoins, les cent quarante-quatre mille, les quatre animaux, les deux bêtes, le trône, Babylone, la nouvelle Jérusalem, etc.

    4. A part l’introduction (1:1-8) et les derniers versets (22 : 16 -21), le livre de l’Apocalypse est divisé en trois parties de dimensions très inégales (1 : 19) :

    1°) Les choses vues par le prophète (chap. 1).

    2°) Les choses qui sont (2 et 3).

    3°) Les choses qui doivent arriver après celles-ci (4 à 22).

     * Présentation de l'Apocalypse de saint Jean

    Pour conclure, du moins provisoirement

    L'Apocalypse de Jean est, dans la Bible, un livre bien étrange qui semble plein de secrets redoutables que l'on tente toujours à nouveau de percer. Or, depuis quelques années, on a découvert d'anciens écrits juifs qui projettent sur l'Apocalypse une lumière nouvelle : les malheurs des fidèles y sont considérés comme l'aspect visible et superficiel d'une histoire en réalité glorieuse ; l'intervention dernière de Dieu a commencé et l'histoire présente en révèle les signes à qui sait voir.

    L'Apocalypse est la transposition chrétienne de ce message : depuis la venue du Christ, le monde est entré dans l'ère finale, Satan est défait et la victoire de Dieu et des siens est certaine.

    C'est un message de dimension cosmique, mais le fantastique est mis au service d'un évangile à vivre présentement sur la terre. Les chrétiens d'Asie mineure du 1er siècle risquaient la persécution et la mort à refuser le culte de l'empereur. L'Apocalypse leur dit que le totalitarisme du pouvoir n'est le plus fort qu'en apparence. Le Christ est le vrai vainqueur et les chrétiens peuvent participer à cette victoire dès maintenant et pour l'éternité. Loin d'être un recueil de menaçantes prophéties sur la fin du monde, l'Apocalypse est un message de vie qui appelle à une constante vigilance pour mieux servir le Seigneur de l'univers.

    L'Apocalypse n'est pas un livre de terreur : il est un livre du désir. Pour les croyants, ce n'est pas la fin du monde qui est redoutée, mais la continuation sans clôture discernable de l'épreuve qu'ils ne cessent de subir.

    Je crois que le message de l’Apocalypse aux chrétiens persécutés est le suivant : tenez bon ; votre témoignage portera ses fruits. Dans votre épreuve se trouve le salut de tous les hommes.

    Si tel est votre désir, mes Frères, mes Sœurs, je vous souhaite une lecture plus aisée de l’Apocalypse en espérant vous en avoir facilité l’accès.

     * Présentation de l'Apocalypse de saint Jean

    Si ce parchemin vous a intéressé, ne manquez pas de prendre connaissance de celui-ci : Le symbolisme de l'Apocalypse

    Complément : Le découpage plus précis de l’Apocalypse

    1. AVANT-PROPOS.

    2. INTRODUCTION —  Chapitre 1 : 1 – 8.

    3. PREMIÈRE PARTIE — Les choses que Jean a vues.

    4. DEUXIÈME PARTIE — Les choses qui sont —  Chapitres 2 et 3.

    5. TROISIÈME PARTIE — Les choses qui doivent arriver après celles-ci —  Chapitre 4 à 22.

    6. PREMIÈRE DIVISION — Cours des événements prophétiques jusqu’à l’établissement du règne de Christ. — Chapitre 4 à chapitre 11 : 18.

    6.1 PREMIÈRE SOUS-DIVISION — La scène céleste: Le trône et l’Agneau. — Chapitres 4 à 5

    6.2 DEUXIÈME SOUS-DIVISION — Histoire prophétique générale des voies de Dieu envers le monde. — Chapitre 6 à chapitre 11 : 18.

    6.2.1 PREMIÈRE SECTION — Les six premiers sceaux. — Chapitre 6

    6.2.2 PARENTHÈSE — Les 144 000 scellés et la grande multitude. — Chapitre 7

    6.2.3 DEUXIÈME SECTION — Le septième sceau et les quatre premières trompettes. — Chapitre 8:1-12.

    6.2.4 TROISIÈME SECTION — Les cinquième et sixième trompettes. — Chapitres 8:13 à ch. 9

    6.2.5 PARENTHÈSE — Le petit livre — Chapitre 10 à chapitre 11 : 13

    6.2.6 TROISIÈME SECTION (suite) — La septième trompette. — Chapitre 11 : 14 – 18.

    7. DEUXIÈME DIVISION — Exposé détaillé des derniers jours sous leur aspect religieux. — Chapitre 11 : 19 à chapitre 22.

    7.1 PREMIER GROUPE — Acteurs principaux de la scène finale. — Chapitre 11 : 19 à chapitre 14 : 5.

    7.1.1 La femme, sa semence et le dragon. — Chapitre 11 : 19 à chapitre 12 : 17

    7.1.2 Les deux bêtes. — Chapitre 13.

    7.1.3 L’Agneau et les 144000. — Chapitre 14 : 1 – 5.

    7.2 DEUXIÈME GROUPE — Voies de Dieu pendant la crise finale. — Chapitre 14 : 6 - 20.

    7.3 TROISIÈME GROUPE — Les sept coupes. — Chapitres 15 et 16

    7.4 QUATRIÈME GROUPE — Babylone et la Bête. — Chapitres 17 et 18

    7.5 CINQUIÈME GROUPE — Ordre historique des événements depuis la chute de Babylone jusqu’à l’établissement de la nouvelle Jérusalem dans les temps éternels. — Chapitre 19 à chapitre 21 : 8.

    7.6 SIXIÈME GROUPE — La nouvelle Jérusalem pendant le millenium. — Chapitres 21 : 9 à chapitre 22 : 5

    7.7 APPENDICE — Chapitre 22 : 6 – 16.

    8. ÉPILOGUE — Chapitre 22 : 16 – 21.

    Synthèse de recherches mise en page par le Frère André B., G.C.P.


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