• * Portrait de Gregorios III

    Notre ancien Protecteur : Gregorios III Laham

     * Portrait de notre Protecteur Grégoire III Laham

    Présentation de notre ancien protecteur

    Gregorios III Laham, né Loutfi Laham à Darayya, connu comme lieu de la conversion de saint Paul, près de Damas en Syrie, le 13 décembre 1933, est le patriarche actuel de  l'Église catholique melkite, avec le titre de « Patriarche d'Antioche et de tout l'Orient, d'Alexandrie et de Jérusalem des Melkites ».

    Chef de l'Église orientale des Grecs Melkites, Sa Béatitude Gregorios Laham enjoint les pays occidentaux à « aider les gens à rester en Syrie ». Il assume sa proximité avec le régime de Damas, qu'il considère comme protecteur pour les Chrétiens d'Orient.

    « Sa Béatitude » (c'est ainsi qu'on qualifie les patriarches) règne sur quelques 700.000 Grecs Melkites répartis dans tout le Proche-Orient. En Syrie, ils sont la troisième confession chrétienne après les grecs orthodoxes et les syriaques orthodoxes. Tout en observant le rite byzantin, ils sont catholiques, c'est-à-dire rattachés à Rome, depuis 1724.

    Le titre du Patriarche

    Le titre complet du Patriarche est :

    « Patriarche des grandes villes d'Antioche, d'Alexandrie et de Jérusalem, de la Cilicie, de la Syrie, de l'Ibérie, de l'Arabie, de la Mésopotamie, de la Pentapole, de l'Éthiopie, de toute l'Égypte et de tout l'Orient, Père des pères, Pasteur des pasteurs, Pontife des pontifes, treizième des saints apôtres ».

    Il existe également une formule plus courte :

    « Patriarche d'Alexandrie et de la terre d'Égypte, d'Antioche et de tout l'Orient, de Jérusalem et de toute la Palestine ».

    Intéressons-nous tout d’abord à sa biographie.

     * Portrait de notre Protecteur Grégoire III Laham

    La biographie du Patriarche Gregorios III Laham

    Son père meurt lorsqu'il a 4 ans. Il est alors élevé par sa mère et son grand-père jusqu’à l'âge de 10 ans puis passe deux ou trois ans dans un orphelinat, ce qui le poussera à fonder en 1966 « la Maison de la Divine Providence », qui accueille un orphelinat d’une centaine d’enfants, une école technique pour 500 étudiants et un centre pour la jeunesse.

    Le jeune Loutfi (qui signifie « gentil ») fut accepté, en 1943, au séminaire des Pères Salvatoriens, au Monastère du Saint Sauveur près de Saida (au Liban-sud) où il termina ses études philosophiques et théologiques. Il prononça ses vœux temporaires le 15 août 1949 et les vœux solennels le 20 janvier 1952. Ses supérieurs décidèrent de l’envoyer en 1956 à Rome pour pousser ses études théologiques. En 1961, il reçut le titre de Docteur en Sciences Ecclésiastiques Orientales de l’Institut pontifical oriental, dirigé par les Pères Jésuites. Là, il fut ordonné prêtre en 1959 au monastère de Grottaferrata près de Rome.

    Rentré au Liban après avoir terminé son doctorat en 1961, il est nommé supérieur du Grand Séminaire de son Ordre à Jeita (près de Beyrouth), charge qu’il maintient jusqu’à la fin de 1969. Il enseigna pendant ce temps, la théologie et la liturgie à l’Université du Saint Esprit de Kaslik (près de Beyrouth).

    Poussé par l’Esprit pour le travail de l’Unité de l’Église, il fonda en 1962 la Revue « Unité dans la foi ». Ce fut la première revue arabe qui traitait des questions œcuméniques. Ainsi, le Saint Synode de l’Église Melkite Catholique le nomma Secrétaire de la Commission œcuménique et liturgique. Il put, par après, préparer en 1972 à Beyrouth le premier congrès liturgique entre les deux Églises sœurs du Patriarcat d’Antioche, et continua avec zèle et persévérance à travailler pour le dialogue entre les deux Églises. Il a été par la suite invité à donner des conférences et à participer à différents congrès soit en Allemagne, en Italie, à Londres, etc.

    Ces charges n’ont pas pu arrêter le dynamique prêtre à servir plusieurs paroisses en Syrie et au Liban, où il s’est dévoué à l’enseignement et à la prédication. Ainsi il entama le travail sur le plan social en fondant le « Foyer de la jeune fille » avec plusieurs sections dans divers villages du diocèse de Saïda au Liban-Sud. Puis en collaboration avec les Pères Georges Kwaiter, Salim Ghazal et l’aide de certains amis allemands, il érigea le « Foyer de la providence » en 1966 à Salhieh, dans les hauteurs à l’Est de Saïda. Ce dernier projet social, formé d’une maison qui peut contenir 100 jeunes garçons, fut dédié à l’enseignement technique. Ce foyer comprenait aussi un centre pour les jeunes qui voulaient se consacrer aux activités sociales, paroissiales et religieuses. Ainsi, en 1971 l’idée d’un centre pour les « Études religieuses pour adultes » prit naissance.

    En 1974, après l’arrêt de l'archevêque Hilarion Capucci par les Autorités israéliennes, Sa Béatitude le Patriarche Maximos V Hakim le nomma Administrateur Patriarcal, puis Vicaire patriarcal de Jérusalem. Pendant les années 1974-75, il termina les projets en cours à Jérusalem, dont la restauration de la résidence patriarcale et l’équipement du foyer pour pèlerins y attenant; de même que la décoration de l’église-cathédrale de Jérusalem.

    Il se dévoua pour autant à créer en 1976 un centre d'Études Religieuses Orientales, avec une bibliothèque en plusieurs langues, devenu aujourd'hui une branche adjointe de l’Université de Bethléem. En 1977, il se consacra aussi au service social et institua la « Caisse financière commune » dans le but d’aider les étudiants besogneux de Jérusalem à poursuivre leurs études universitaires.

    Le Saint Synode, dans sa réunion du 9 septembre 1981, l’a élu à la dignité épiscopale. Il fut sacré à Damas le 27 novembre de la même année par Sa Béatitude le Patriarche Maximos V, assisté de LL. EE. Saba Youakim et François Abou Mokh. Depuis lors, il initia un projet d’habitation formé de 36 appartements pour recevoir plusieurs familles besogneuses de Jérusalem, avec une église, une grande salle et un centre sanitaire. Ce projet terminé en 1983, fut suivi de plusieurs constructions d‘habitations, d’écoles, de centres sanitaires, et de restauration d’églises paroissiales... En 1986, le Saint Synode le nomma à la tête de la Commission liturgique patriarcale et synodale. Il y travailla et continue à le faire avec zèle. En effet, avec l’aide de la Commission Liturgique, il termina en 1921 le livre de la « Divine Liturgie », ajoutant à l’ancienne édition différentes introductions et variantes. Il travaille aussi à compléter le livre des « Prières Liturgiques » en quatre volumes, qui rendent notre Église fière de sa tradition byzantine.

    En plus de tout cela, Sa Béatitude est prolifique. Il a notamment publié une « Introduction aux rites liturgiques et à leurs symboles dans l’Église orientale », « Voix du Pasteur », « Germanos Adam », « Histoire de l’Église Melkite », « L’Église Melkite au concile Vatican II », etc.

    En juin 2000, il invita tous les évêques catholiques de tradition byzantine au monde à un congrès dans la résidence patriarcale de Jérusalem. Ils ont pu étudier ensemble les problèmes communs à leurs églises. C’était la première fois qu’une telle réunion prenait place parmi les églises byzantines variées. Quand Sa Béatitude Maximos Hakim donna sa démission comme Patriarche de l’Église grecque-catholique melkite pour raison de santé, le Saint Synode, réuni à Raboueh, le 22 novembre 2000, accepta la démission du patriarche. Ainsi, de nouveau réuni le 29 suivant, le Synode élut Son Excellence l’Archevêque Loutfi comme Patriarche d’Antioche et de tout l’Orient, d’Alexandrie et de Jérusalem. Il prit alors le nom de Grégoire III, qui signifie le « Veilleur ».

     * Portrait de notre Protecteur Grégoire III Laham

    Sa Béatitude Gregorios III Laham est le 172ème Patriarche d’Antioche depuis saint Pierre, et le 21ème depuis le dédoublement de la hiérarchie dans le Patriarcat d’Antioche, en grecs-melkites catholiques et grecs-orthodoxes, en 1724.

    À la fin de 2014, il fonde l'organisme représentant en France l'Ordre patriarcal de la Sainte-Croix de Jérusalem, institution melkite catholique qui aide moralement et financièrement les Chrétiens de Terre-Sainte.

    L’ordre patriarcal de la Sainte-Croix de Jérusalem

    L'Ordre patriarcal de la Sainte-Croix de Jérusalem est un ordre religieux ouvert aux laïcs et créé en 1979 par le patriarche de l'Église catholique melkite qui en assume la direction en tant que Grand Maître. Il a pour objet la diffusion de la vie chrétienne dans la société actuelle, la promotion et le soutien des œuvres et des institutions religieuses, culturelles, charitables, sociales de l’Église Patriarcale Grecque-Melkite.

    En France, l'Ordre est représenté par une association « Les Chevaliers de la Sainte Croix de Jérusalem » (enregistrement N° W751227488) qui a son siège en l’église Saint Julien le Pauvre, 79 rue Galande à Paris Vème depuis la fin de 2014.

     * Portrait de notre Protecteur Grégoire III Laham

    Le Patriarche Gregorios III Laham

    Grand Maître de l'Ordre de la Sainte-croix de Jérusalem

    L'Eglise grecque catholique melkite

    L'Église grecque catholique melkite est une des Églises catholiques orientales.

    Les Grecs Melkites Catholiques sont des catholiques de rite byzantin. Le mot « Melkite » vient du syriaque « Malko » qui signifie « empereur ». Apparu en 451 après J.- C, ce nom fut attribué par les Monophysites aux Chrétiens qui leur étaient opposés après le Concile de Chalcédoine. Les Melkites ont reconnu à ce Concile : un seul et même Christ, Fils unique et Seigneur, en deux natures, sans confusion ou mutation, sans division ou séparation entre ces deux natures.

    Dans le nom de l’Église, le mot « Grec » vient du fait que les Pères de cette Église ont écrit leurs textes en langue grecque. Et le mot « Catholique » vient que cette Eglise s’est rattachée à Rome au 18ème siècle (séparation de l’Eglise grecque melkite orthodoxe).

    L'Église melkite fait partie de l'Église apostolique d'Antioche, fondée par saint Pierre. Située en Turquie près de la frontière avec la Syrie, elle a été la première ville païenne à recevoir l'Évangile : « C'est à Antioche que, pour la première fois, les disciples reçurent le nom de « chrétiens » (Actes 11: 26).

    Contrairement aux autres églises orientales, catholiques ou non, l'Église Melkite n'est pas une Église nationale. C'est une Église particulière, dans le sens canonique du mot. Elle est répandue dans tout le Proche-Orient arabe et dans une diaspora qui prend de plus en plus d'ampleur. En effet, plus de la moitié de ses fidèles vivent, aujourd’hui, en dehors des limites orientales du Patriarcat.

    La liturgie de l’Église melkite catholique est de rite Byzantin. Elle est célébrée principalement en arabe avec des parties en grec et en syriaque. En diaspora, elle peut être aussi célébrée dans la langue locale.

    Le patriarche actuel, chef spirituel de l'Église Patriarcale Grecque Melkite Catholique, est Sa Béatitude Gregorios III Laham, Patriarche d'Antioche et de tout l'Orient, d'Alexandrie et de Jérusalem. Il est le vingt-et-unième dans la lignée des Patriarches Grecs Melkites Catholiques depuis 1724.

    Histoire de l’Eglise melkite

    Les Melkites sont des Chrétiens de rite byzantin ayant rejoint l'Église catholique en 1724. L'histoire des Melkites remonte au Concile de Chalcédoine, et est tout à fait singulière. Contrairement aux autres Églises de la région qui vont soutenir le Monophysisme (Coptes, Syriaques), les Melkites vont soutenir les décisions du Concile, et vont rejeter l'hérésie monophysite, ce qui leur vaudra l'appellation péjorative à l'époque de Melkites (Malka, en syrien, veut dire « Empereur », ce qui était une façon de stigmatiser leur soutien à l'Empire byzantin, l'Empereur byzantin Marcien ayant lui-même convoqué le Concile de Chalcédoine).

    Les Melkites sont historiquement rattachés à trois Patriarcats, ceux d'Antioche, de Jérusalem et d'Alexandrie. Des contacts réguliers ont lieu entre les Melkites et les missionnaires catholiques (Dominicains, Franciscains), établis en Terre Sainte bien avant l'union de Florence. On rapporte que des ecclésiastiques Melkites prennent très tôt le parti de Rome et certains d'entre eux font déjà mention du nom du Pape lors des offices en 1440. Néanmoins la majorité des Melkites refuse l'union de Florence, qui est abandonnée.

    La question romaine revient au 18ème siècle. Les ecclésiastiques catholiques tentent d'attirer les Melkites dans le giron de Rome, en s'impliquant cette fois dans les affaires de l'Église. Des missionnaires catholiques font un prosélytisme actif, aussi bien auprès des clercs que des fidèles. Les Melkites se scindent alors progressivement en deux groupes. D'une part ceux qui sont favorables à la pleine communion avec Rome et qui sont prêts à adopter sa théologie propre, d'autre part ceux qui rejettent la communion avec Rome et s'opposent au changement de la foi ancestrale qu'on veut leur imposer.

    À la suite de la mort du Patriarche Athanase en 1724, la rupture est consommée : les Melkites favorables à Rome se rattachent officiellement au Pape devenant l'Église grecque-catholique melkite, ceux qui rejettent Rome vont demeurer fidèles au Patriarcat orthodoxe d'Antioche en communion avec le Patriarcat de Constantinople. Cyrille VI Tanas est reconnu Patriarche de l'Église grecque-catholique melkite par le pape Benoît XIII en 1744.

    Par la constitution « Demandatam coelitus humilitati nostrae » du 24 décembre 1743, le pape Benoît XIV interdit la latinisation des rites. Le 25 juillet 1772, par la constitution apostolique « Orientalium dignitas », du pape Clément XIV, le patriarche d’Antioche devient « administrateur apostolique d’Alexandrie et Jérusalem » pour les melkites. En 1851, le pape Pie IX reconnait au Patriarche Maxime III Mazloum le titre de « Patriarche d'Alexandrie et de la terre d'Égypte, d'Antioche et de tout l'Orient, de Jérusalem et de toute la Palestine ».

    L'Église melkite catholique va toujours être soucieuse de son indépendance et de la conservation de ses rites, ce que le Pape Léon XIII reconnaît et garantit par l'encyclique « Orientalium Dignitas » du 30 novembre 1894.

    Organisation de l’Eglise melkite

    En 2009, les Melkites représentent la deuxième communauté catholique d'orient. Elle compte 1,3 million de fidèles dans le monde dont 700 000 au Proche-Orient. Essentiellement originaires de Syrie, du Liban et de Palestine, les Melkites sont présents dans tous les pays du Levant: au Liban : 425 000 fidèles, en Syrie : 170 000, en Jordanie : 30 000, en Palestine : 54 000 et également en Égypte : 6 500 (issus de l'immigration des Melkites de Syrie et du Liban au 19ème siècle, leur nombre a considérablement chuté dans les années 50-60 sous le régime nassérien. La communauté melkite d'Égypte était estimée à 40 000 personnes au début du 20ème siècle). Une importante diaspora vit au Brésil et en France ainsi qu'au Canada.

    Le siège patriarcal de l'Église grecque-catholique se situe à Damas (Bab Charki) où Sa Béatitude le Patriarche Grégoire III Laham réside, mais il dispose également d'une résidence secondaire à Raboueh, au Liban. Il séjourne aussi dans les deux autres patriarcats de Jérusalem et d'Alexandrie.

    Rappelons que l'Eglise paroissiale "Saint Jean Chrysostome" de Bruxelles se trouve à Etterbeek rue de l'Orient. Elle rassemble une importante communauté grecque catholique melkite (Lien URL). 

     * Portrait de notre Protecteur Grégoire III Laham

    Les chrétiens d'Orient

    Pourquoi les Églises catholiques orientales sont-elles différentes ?

    Les catholiques d'Orient, rattachés à Rome, ont des spécificités marquées !

    Dans une Église si attachée à l'unité, comment s'expliquent de telles différences ? 

    Wadie Andrawiss, historien des religions, répond à ces questions dans le texte suivant, publié le 26 mai 2014 :

    Les Églises catholiques orientales forment une des branches de l'Église catholique romaine. Elles ont pour origine d'anciennes Églises qui remontent aux racines même de l'Église universelle des premiers siècles mais qui, au travers des siècles, se sont séparées les unes des autres pour des motifs divers et variés. Dans certains cas, pour des motifs politiques parce que certaines se situaient hors de l'empire romain et même de l'empire perse.

    Les Églises catholiques orientales, sans renier leurs traditions, leurs langues liturgiques et leurs rites, se sont unies à Rome du 17ème au 20ème siècles. L'Eglise maronite seule, depuis son origine au 7ème siècle, a toujours été catholique. Les relations entre l'Église maronite et les latins se sont intensifiées dès le 12ème siècle, c'est-à-dire à la correspondante à la présence  active des croisés. Ces Eglise catholiques sont appelées également Églises Uniates du fait d’être unies à Rome. Ces Églises catholiques orientales ont été fondées au Moyen-Orient, en Afrique du Nord- Est ou en Inde méridionale entre le 17ème siècle et le 20ème siècle par détachement des Églises orientales non romaines dans un contexte global d'activité missionnaire, de propagande et d'influence diplomatique de l'Église catholique romaine latine.

    Aujourd'hui, avec la diaspora des fidèles qui ont quitté leurs pays d'origine, elles sont également implantées en Europe occidentale, en Amérique latine ou du Nord, en Océanie comme dans les pays islamiques. C'est pourquoi ces Églises font l'objet de débats et de critiques depuis leur origine, tant dans l'Église catholique où bien des fidèles, au nom de l'unité, n'acceptent pas leurs spécificités, que de la part des Églises orthodoxes byzantines ou orientales qui les considèrent comme des dissidences, responsables de leur propre affaiblissement.

    Ces critiques portent sur leur identité, en particulier sur leur niveau d’autonomie, sur les conditions de leur formation et de développement, ainsi que sur la légitimité de leur allégeance, à une période où la politique officielle du Vatican est le dialogue œcuménique et le respect des Églises orientales.

    Informations synthétisées et mises en page par le Frère André B., Grand Chancelier Prieural

    Sitographie

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Gr%C3%A9goire_III_Laham

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Ordre_Patriarcal_de_la_Sainte-Croix_de_J%C3%A9rusalem

    https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89glise_grecque-catholique_melkite

    http://www.chretiensorientaux.eu/index.php?option=com_content&view=category&layout=blog&id=39&Itemid=63

    http://www.pgc-lb.org/fre/melkite_greek_catholic_church/Patriarchs

    http://croire.la-croix.com/Definitions/Vie-chretienne/Chretiens-d-Orient/Les-Eglises-catholiques-orientales


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