• * 19 - Amen

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    Rubrique « Regards sur la liturgie » – 19

      « Amen »  

     * 19 - Amen

    Introduction

    Pour introduire ce regard particulier sur le mot « Amen », nous avons recueilli le point de vue du Père dominicain François-Xavier Ledoux, titulaire d’un master en théologie sacramentelle et liturgiste, qui a contribué à la réflexion sur la musique et le chant dans la liturgie. Agrégé de lettres classiques, il se consacre actuellement à l’enseignement des langues anciennes.

    De nombreuses fois, au cours de nos liturgies, revient le mot « Amen ». Mais que signifie-t-il véritablement ? Et pourquoi une si grande place dans nos célébrations, pour un si petit mot, passé tel quel dans toutes les liturgies, dans toutes les langues, et commun aux juifs, aux chrétiens et aux musulmans ?

    Dans son commentaire de l’Évangile de Jean (41, 3), saint Augustin nous rappelle déjà que « Amen [au début des affirmations de Jésus] se traduit par « en vérité ». Il s’agit là d’un emploi qui est propre à Jésus et qui n’a pas d’équivalent dans toute la bible. Et pourtant, on ne le traduit pas alors qu’on pourrait dire : « En vérité, je vous le dis. » Ni le traducteur grec ni le traducteur latin n’a osé le faire car ce mot « Amen » n’est ni du grec ni du latin mais de l’hébreu. Il est demeuré ainsi sans être traduit afin qu’il fût rehaussé par le voile du mystère. Non pour être annulé mais pour ne pas être déprécié en étant mis à nu. On retrouve cette formule comme doxologie finale des quatre premiers Livres des Psaumes (PS 40, 71 88 et 105).

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    Un « Amen » qui « coule de bible »

    La racine hébraïque à laquelle se rattache le mot « Amen » évoque les idées de fermeté, de constance, de solidité et de sécurité : quiconque voudra se bénir lui-même dans le pays se bénira par « Dieu amen », et quiconque dans le pays, fera un serment le fera par « Dieu Amen » (Is 65,16). Le prophète évoque ici Dieu en qui on peut avoir confiance parce qu’il est fidèle à ses promesses. C’est aussi un mot qui exprime une confiance ferme, une adhésion certaine à un vœu, à une prière, à un serment, à une malédiction, prononcé par une seule personne ou par tout le peuple, dans un contexte presque toujours liturgique : « Béni soit le Seigneur, le Dieu d’Israël, depuis toujours et pour la suite des temps ! Et tout le peuple dit : « Amen ! Alléluia ! » (1ch 16, 36).

    En dehors des Évangiles, dans le reste du Nouveau Testament, « Amen » arrive en conclusion d’un vœu ou en redoublement d’un oui. Mais surtout, « Amen » est quasiment le nom propre du Sauveur qu’il personnifie : « Ainsi parle celui est l’Amen, le témoin fidèle et vrai, le principe de la création de Dieu » (Ap 3, 14). De même, Paul écrira : « le fils de Dieu, le Christ Jésus que nous avons annoncé parmi vous, […] n’a pas été « oui ou non » il n’a été  que « oui » et toutes les promesses de Dieu ont trouvé leur « oui » dans sa personne. Aussi est-ce par le Christ que nous disons à Dieu notre « Amen » notre « OUI », pour la gloire » (2 Co 1, 19-20). Ici,  « Amen » est apparenté à oui, avec allusion à l’usage liturgique de répondre « Amen » aux nombreuses formules de glorification, ou doxologies, adressées à Dieu : au roi des siècles, Dieu immortel et unique honneur et gloire pour les siècles des siècles ! Amen (1Tm 1, 17).

    Plus important encore que le sens, Paul insiste sur la nécessité de pouvoir répondre « Amen » à la fin d’une action de grâce, toujours selon l’usage liturgique : « Si je prie en langue, mon esprit, assurément, est en prière mais mon intelligence reste sans fruit. Que vais-je donc faire ? Je vais chanter selon l’inspiration, mais prier aussi avec intelligence, je vais chanter selon l’inspiration, mais chanter aussi avec intelligence. Car si tu prononces une prière de bénédiction selon l’inspiration seulement, alors celui qui est là et n’y connaît rien, comment va-t-il répondre « Amen » à ton action de grâce, puisqu’il ne comprend pas ce que tu dis ? » (1 Co 14, 14-16).

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    Un «  Amen » de communion

    Depuis la liturgie du Temple, en passant par celle de la synagogue, les premiers chrétiens ont importé ce petit mot avec joie :  «  quand les prières et l’action de grâce sont terminées [par le président de l’assemblée], tous ceux du peuple qui sont présents acclament avec enthousiasme : Amen ! » (Justin Apologie, 1,67). Ce que confirme Jérôme en rapportant que les fidèles de Rome clamaient « Amen » avec tant de vigueur qu’on aurait cru entendre le roulement du tonnerre ! (Cf. Jérôme, Commentaire sur l’Épitre aux Galates, 26, 355) Tertullien, lui, en se demandant comment le fidèle peut applaudir le gladiateur, au cirque, avec la même voix dont il profère « Amen » dans l’action eucharistique, marque ainsi le caractère sacré de cette acclamation. Pour Augustin, encore, « Amen, c’est notre signature, notre consentement, notre affirmation […]. Lorsque l’évêque est seul à l’intérieur du [sanctuaire], le peuple prie avec lui et, comme souscrivant à ses parole, répond : « Amen » (Augustin d’Hippone. Contre la lettre de Parménien, 11,7).

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    Ainsi donc, dans la liturgie, « Amen » a pour but non seulement de réaliser l’accord entre l’officiant et le peuple, mais au-delà, de constituer la communauté de prière entre les membres du peule.

    Pensons, tout d’abord, à l’Amen de l’oraison d’ouverture appelée « collecte », c’est-à-dire le « rassemblement » des prières des fidèles : après l’invitation à la prière, un temps de silence est requis pour laisser monter, dans le cœur de chacun, ses intentions que le prêtre va rassembler dans l’oraison du jour. Puis le peuple, jusque-là silencieux, y répond d’une seule voix par un « Amen » qui, à la fois, l’unit au célébrant et réalise la communion des fidèles entre eux. L’Amen est donc vraiment une prière liturgique parce que c’est une prière communautaire et sacerdotale de tous les baptisés.

    Prenons un autre exemple : lors de la communion au corps et au sang du Christ, nous répondons « Amen », au sens de « C’est vrai, j’y crois ». Mais Augustin, encore, nous met sur le chemin d’un sens bien plus profond et réel : « Puisque vous êtes le corps du Christ et ses membres, c’est votre mystère qui est placé sur la table du Seigneur, c’est votre mystère que vous recevez. A l’affirmation de ce que vous  êtes, vous répondez « Amen » et votre réponse est votre signature. On vous dit : « Le corps du Christ » et vous répondez « Amen ». Soyez membres du corps du Christ pour que votre « Amen » soit véridique » (Augustin d’Hippone, Sermon 272).

    Mais, l’Amen le plus important de toute la messe, qui devait être toujours chanté pour lui donner toute son ampleur et sa valeur, est celui qui conclut la doxologie finale de la prière eucharistiquepar lui, avec lui et en lui… »). Par ce simple petit mot, tout le peuple assemblé souscrit à l’action de grâce, dit sa foi en la présence réelle et s’unit à toute l’action sacrificielle pour la prendre à son compte. Autrement, sans cet « Amen », par lequel l’assemblée ratifie l’Alliance nouvelle, la célébration pourrait ne pas se poursuivre. C’est donc un acte essentiel de participation active et d’exercice du sacerdoce baptismal des fidèles qui devraient le chanter de toutes leurs forces, à ce moment-là !

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    Amen est ainsi un véritable sacramental réservé au peuple consacré. C’est notre baptême qui nous donne le droit et le pouvoir de prononcer pleinement ce grand mot, avec disponibilité et enthousiasme, dans la liturgie à l’image de Jésus, lui qui est l’Amen, le témoin fidèle qui toujours rend grâce à son Père, comme image des bienheureux au ciel, là où, nous dit Augustin, « il y aura un sabbat éternel […]. Et toute notre occupation sera : Amen et Alléluia. […] Ce n’est alors pas avec des sons qui passent que nous disons : « Amen, Alléluia », mais avec les sentiments de l’âme. […]  Bondissant dans une louange égale, brûlant d’amour les uns pour les autres et pour Dieu, tous les habitants de cette cité diront : « Alléluia ! » parce qu’ils diront : Amen ! » (Idem 362, 27-28).

    Père François-Xavier Ledoux

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     Essai de synthèse et complément de formation 

    Que veut dire le mot « Amen », répété sans cesse par les chrétiens ?

    Pourquoi le mot « Amen » est-il identique quelle que soit la langue parlée ?

    Est-il vraiment universel ?

    Peut-on trouver son origine et sa signification dans les Écritures ?

    Très souvent au cours de la messe, nous prononçons le mot « Amen » et nous ne mesurons pas toujours pleinement son sens !

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    Définition

    Le mot « Amen » vient de l'hébreu אָמֵן (qui se prononce ʾāmēn) et signifie « ainsi soit-il », « que cela soit vrai, se vérifie » mais aussi « en vérité ». C’est une déclaration de foi et d'affirmation, trouvée dans la Bible hébraïque et le Nouveau Testament. Elle a toujours été en usage dans le judaïsme et a été adoptée dans la liturgie chrétienne. « Amen » a été adopté par les chrétiens comme formule de conclusion de prières ou d'hymnes.

    D’après Wikipédia

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    Amen – Liturgie et sacrements

    Dire « Amen », c’est consentir à ce qui vient d’être dit ou fait. Dans la liturgie, l’Amen est l’acte de consentement du peuple à l’Œuvre de Dieu, telle que les ministres l’exercent. Il est aussi son acte d’adhésion aux prières faites en son nom par le célébrant. Le plus solennel des Amen est celui qui revient aux fidèles, au moment où, à la fin du Canon, ils expriment leur adhésion au sacrifice eucharistique, conclu par la doxologie du « Per Ipsum ».

    Note : Le Canon de la messe (en latin : Canon Missæ, Canon Actionis) est la partie de la messe selon le rite romain de l'Église catholique qui commence après le « sanctus » avec les mots « Te igitur » selon le missel romain, par la première édition type du pape Pie V en 1570 jusqu'à celle du pape Jean XXIII en 1962.

    Dans la liturgie romaine, le Canon est le terme le plus souvent employé pour désigner la Prière eucharistique, c’est-à-dire la partie centrale de la messe, celle qui va de la Préface au « Per ipsum ». Le Canon est la « règle » de célébration qui doit être observée pour l’Eucharistie : il ne s’agit pas seulement d’une règle de structure, mais d’un formulaire imposé.

    Doxologie de la Prière eucharistique

    Per ipsum, et cum ipso, et in ipso,
    est tibi Deo Patri omnipoténti,
    in unitáte Spíritus Sancti,
    omnis honor et glória
    per ómnia saécula saeculórum.
    Amen ! Amen ! Amen !

     

    Par lui, avec lui et en lui,

    à toi, Dieu, le Père tout-puissant,

    dans l’unité du Saint-Esprit,

    tout honneur et toute gloire,

    pour les siècles des siècles.

    Ainsi soit-il !

     

    Ce consentement est identique à la ratification de l’Alliance par le Peuple d’Israël, lors de la liturgie du Sinaï (Cf. Ex 24, 7). Il importe aussi de souligner fortement l’Amen du fidèle, lors de la communion, comme pleine adhésion de foi au « Corps du Christ » que lui présente le prêtre célébrant ou un autre ministre compétent.

    D’après « Liturgie catholique.fr

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    Que signifie le mot « amen » ?

    Le mot « Amen » fonde toute prière sur le roc de la fidélité de Dieu.

    Combien de ceux qui prient, comprennent ce qu’ils disent quand ils prononcent « Amen » ? Que signifie-t-il en réalité ?

    Non, il ne s’agit pas d’une formule magique que l’on ajoute à ses prières pour être plus sûr qu’elles seront exaucées !

    Pourtant le mot « Amen » a une signification bien particulière. En effet, c’est un des mots hébreux, qui subsiste tel quel, dans toutes les langues. C’est un des rares mots que nous prononçons comme Jésus l’a prononcé.

    « Amen » est un mot dont l’utilisation en hébreu est très ancienne. Du point de vue étymologique, « amen » est un terme hébreu qui provient de « aman », que l’on utilise pour renforcer ou confirmer des propos. Son sens revient pour ainsi dire à « qu’il en soit pris note » ou « en vérité ».

    Ce mot hébreu se rattache à une racine qui signifie : solidité, fermeté... Il était largement utilisé dans le culte juif, non seulement au sens d'un souhait : « Ainsi soit-il », mais beaucoup plus comme une affirmation : « C'est vrai, d'accord ! ».

    Ce terme n’a pas d’équivalent dans les langues occidentales. C’est pourquoi il ne faut pas en traduire le sens mais comprendre qu’il s’agit d’une réponse à un propos ferme, stable ou immuable. C’est pour cette raison que dans la tradition judéo-chrétienne, ce mot est utilisé tel quel, sans être traduit, puisque toutes les traductions appauvrissent le sens d’origine de ce terme, qui s’utilise par rapport au sacré. Donc, au sens strict, on ne peut dire « amen » qu’en référence à Dieu.

    Lorsqu’on utilise ce terme, on proclame que l’on tient pour vrai ce qui vient d’être dit, dans le but de confirmer une phrase, la faire sienne ou s’approprier une prière. C’est pourquoi, lorsque « Amen » est exprimé par l’ensemble d’un groupe dans le cadre d’un service divin ou lors d’un office religieux, il signifie également que l’on donne son assentiment à ce qui vient d’être dit.

    Le mot « Amen » est utilisé par Jésus dans les Évangiles pour commencer un discours en lui apportant une nuance de solidité et de fermeté. C’est pourquoi Il disait : « En vérité, en vérité, je vous le dis ».

    Extraits du site « Aleteia.org »

    Le sens spirituel de « Amen », un terme très ancien

    En langage vulgaire « Amen » signifie « Ainsi soit-il ». Dans le langage ésotérique, ce même terme est synonyme de « caché ». Il est probablement fort ancien car nous savons qu'en Égypte, « Amen » est le synonyme d'Ammon ou Amoun, le Dieu caché sous la tête d'un bélier. Il est appelé le Seigneur de la fête de la Lune nouvelle. Ammon, Amoun, Amas est le Dieu caché, qui restera caché tant qu'il ne revêtira pas une forme anthropomorphique.

    Ce terme « Amen » est formé des trois lettres hébraïques : A. M. N., qui valent respectivement 1, 40, 50, soit 91, nombre qui correspond aussi à Jéhovah Adonaï, dont les lettres {10, 5, 6, 5} et {1, 4, 50, 10} égalent ensemble 91.

    Extraits du site « Spiritualités.net »

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    À la fin de certains documents officiels il est demandé de faire précéder sa signature de la mention « lu et approuvé ». Quand un croyant dit « Amen » à la fin d’une prière, c’est à peu près la même chose. Cette affirmation de foi très brève engage celui qui signe sa prière.

    Ce mot hébreu a été traduit par l’expression « Ainsi soit-il ! » dans une partie de la chrétienté. Il aurait toute sa place et prendrait tout son sens dans l’échange des engagements lors d’un mariage. Plus qu’un simple « oui », il affirme une forte assurance.

    La racine du mot « Amen » porte en elle la notion de solidité, de fermeté et de durée. D’ailleurs, quand il se trouve dans la bouche de Jésus, il est généralement traduit par « En vérité, je vous le dis ».

    Il est aujourd’hui utilisé pour exprimer un fort assentiment qui ne souffre pas la discussion, équivalent à un point final : « dire Amen ». C'est dommage, parce que l’amen, s’il termine bien la prière, ouvre sur une attente sereine de la réponse que Dieu donnera à nos questions. Amen ? Amen !

    Extrait de publications « Croire et vivre »

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    Au fil de la messe : Amen

    Avec « Hosanna » et, bien entendu, « Alléluia », le mot « Amen » est la seule expression d’origine hébraïque qui apparaît dans notre messe. Très fréquent dans la Bible, notre liturgie eucharistique le reprend tel quel et s’abstient de le traduire, respectant sa consonance sémitique.

    Le succès de l’Amen lui a valu dans le langage populaire des acceptions pas trop « catholiques ». Ainsi, « dire Amen à tout », c’est faire preuve d’un caractère faible et inconsistant ! De même, prononcer autoritairement au cours d’une discussion un « Amen » retentissant et sans réplique, c’est interrompre ou dirimer un débat qui n’est  pas prêt de se rouvrir.

     * 19 - Amen

    Par contre, « l’Amen » qui ponctue notre messe a un sens bien précis dérivé d’un verbe hébreu. Il désigne la qualité de ce qui est stable, ferme et fondé. Dire « Amen » c’est donc consentir fermement et en connaissance de cause à ce qui vient d’être dit. C’est aussi s’engager à lui être fidèle. On pourrait paraphraser : « Oui, c’est vrai et j’y adhère de tout mon être ».

    Pour souligner et solenniser cette adhésion, il arrive au cours de la messe que l’Amen soit répété à trois reprises. Ainsi à la fin de la prière eucharistique, quand l’assemblée exprime son assentiment à l’œuvre de salut opéré par le Christ.

    Mentionnons enfin une application récente due à la messe conciliaire. C’est « l’Amen » exprimé par le communiant au moment où un célébrant dépose dans sa main l’hostie consacrée et déclare : « Le corps du Christ ». « L’Amen » qui répond à ce geste et à cette parole n’est pas un merci banal et poli du communiant adressé à celui ou à celle qui lui a remis cette hostie, mais l’affirmation de sa foi et plus encore de son engagement à faire honneur à l’hôte divin qui « entre dans sa maison ».

    Frère Guy Musy – site « dominicains.ch »

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    Pour conclure :

    1. Quand je réponds « Amen » à quelqu'un ou à une hymne liturgique, je dis en réalité : « Je trouve mon appui en ce qui vient d'être dit ».

    « Amen » dans la liturgie chrétienne est le mot le plus prononcé et il pourrait être aussi le mot dit avec le moins d'attention s'il est dit par réflexe.

    Sous la plume de l’Apôtre Paul, le plus ancien écrivain du Nouveau Testament, le mot « amen » apparaît aussi comme une exclamation liturgique insérée ...

    2. En concluant leurs prières par Amen, les chrétiens suivent le modèle des Apôtres en demandant à Dieu qu'il en soit fait selon leur prière. Mais il convient de garder à l'esprit le lien entre « Amen » et le culte d'obéissance et donc de toujours prier selon la volonté de Dieu, afin d'avoir la certitude que Dieu nous exaucera si nous disons « Amen » (Jean 14.13, 1 Jean 5.14) !

    3. Liturgie de l'envoi :

    • Que Dieu tout-puissant vous bénisse le Père, le Fils et le Saint-Esprit.
    • Amen.
    • Allez dans la paix du Christ.
    • Nous rendons grâce à Dieu.

    Synthèse de recherches effectuée par les Frères André et Jean-Paul, Chevaliers de la Sainte-Croix de Jérusalem

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    Références :

    Magnificat du mois de février 2020 n° 333  page 2 à 6

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Amen

    https://liturgie.catholique.fr/lexique/amen/

    https://www.chantonseneglise.fr/voir-texte/24912

    https://fr.aleteia.org/2015/10/19/que-signifie-le-mot-amen/

    https://1001spiritualites.net/spiritualite/sens-de-amen.html

    https://www.croirepublications.com/croire-et-vivre/question/article/amen

    https://dominicains.ch/article/au-fil-de-la-messe-amen-350280

    https://www.gotquestions.org/Francais/amen.html

    https://croire.la-croix.com/Les-formations-Croire.com/Theologie/20-cles-pour-comprendre-le-Credo/Dix-neuvieme-cle-Amen/Amen


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