• * 33 - Les « temps » de la liturgie

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    Regards sur la liturgie – 33

     Les « temps » de la liturgie 

     * 33 - Les « temps » de la liturgie

     Qu’est-ce que l’année liturgique ? 

    De même qu'il existe une année légale ou civile commençant le 1er janvier, il y a pour l'Église une année qualifiée de «liturgique», qui commence le 1er dimanche du Temps de l'Avent.

    « L’année liturgique » est le déploiement, sur douze mois, de la phrase prononcée lors de chaque messe : « Nous proclamons ta mort, Seigneur Jésus, nous célébrons ta Résurrection, nous attendons ta venue dans la gloire. ». Elle invite les chrétiens à accueillir Dieu dans leur vie et à rester tendus vers la venue du Royaume.

    « L'année liturgique » est ainsi structurée par les grandes fêtes qui reprennent l'ensemble du mystère du Christ. Elle commence le premier dimanche de l'Avent et finit chaque année avec la fête du Christ roi de l’Univers (un des derniers dimanches de novembre). Mais le centre de l'année liturgique est la célébration de la Résurrection.

    D’après le site de la Paroisse de Tresses

    Pour les chrétiens, l’année liturgique est structurée par les grandes fêtes religieuses qui reprennent des moments particuliers de la vie de Jésus : sa naissance (Noël), sa mort et sa résurrection (Pâques), le don de l’Esprit (Pentecôte). Ainsi, en douze mois, l’année liturgique propose aux chrétiens de revivre l’ensemble de l’histoire du salut et de la vie du Christ.

     Les différents « temps » de l’année liturgique 

     * 33 - Les « temps » de la liturgie

    L’année liturgique, dont le cœur est la célébration de la Pâque, la Résurrection du Christ, commence donc le premier dimanche de l’Avent et finit chaque année avec la fête du Christ roi de l’Univers.

    Elle se divise en plusieurs périodes que l’on appelle des « temps ». Chaque temps a sa tonalité propre selon ce que l’on y célèbre. Cette « tonalité » transparaît concrètement et visuellement dans la liturgie par la couleur des ornements liturgiques (étole / chasuble du prêtre par exemple) : à chaque temps est associée une couleur liturgique selon ce que prévoit le calendrier liturgique.

    Voir à ce sujet notre parchemin n° 8 : « Les couleurs dans la liturgie »

     Les couleurs liturgiques 

     * 33 - Les « temps » de la liturgie

    À chacun de ces temps correspond une couleur : le violet pour l'Avent, le blanc et or pour le Temps de Noël, le vert pour le Temps ordinaire, le violet à nouveau pour le Carême, le rouge pour le dimanche des Rameaux, le blanc et or le Jeudi Saint, le rouge le Vendredi Saint, le blanc et or durant tout le Temps pascal, le rouge pour la Pentecôte, le vert pour tout le Temps ordinaire.

    Quant aux fêtes, on utilise notamment le blanc et or pour la Transfiguration, l'Assomption et la Toussaint, et le violet pour la commémoration des fidèles défunts, le 2 novembre.

    D’après le site de la Paroisse de Tresses

     Analyse des temps de l’année liturgique 

     * 33 - Les « temps » de la liturgie

    • Le Temps de l’Avent, ou de l’attente et du désir, conduit à Noël, célébration de la naissance de Jésus, Fils de Dieu, vrai Dieu et vrai homme.

    Avent signifie « avènement ». Il y a 4 dimanches dans le Temps de l’Avent (mais pas forcément 4 semaines entières). C’est un temps orienté vers la venue du Seigneur en se souvenant de sa venue à Bethléem dans la crèche. Mais nous préparons également sa venue dans la gloire à la fin des temps.

    « L'année liturgique » chrétienne s'ouvre par le Temps de l'Avent, qui commence fin novembre ou début décembre de l'année civile.

    Pendant cette période, ce « temps », la liturgie utilise la couleur violette.

    • Le Temps de Noël est le prolongement de la fête de la Nativité, de Noël.

    Il s’ouvre au moment de Noël et va jusqu’à la fête du Baptême de Jésus, une semaine après l’Épiphanie. On y découvre particulièrement l’enfance de Jésus.

    Pendant cette période, ce « temps », la liturgie utilise la couleur blanche.

    • Le Temps ordinaire (1ère période) s’écoule ensuite jusqu’au mercredi des Cendres qui coïncide avec la célébration de l’entrée en Carême.

    On nomme aussi le Temps ordinaire parfois « Temps de l’Église ». Il se déploie aussi (2ème période) de la Pentecôte à la fin de l’année liturgique. Ainsi, le temps « ordinaire » dure en tout 34 semaines et se divise en deux périodes. Ce temps liturgique très long est une sorte de retour au quotidien. Attention toutefois ! Non pas un quotidien rendu à sa banalité, mais un quotidien redécouvert et renouvelé. Durant cette période, l’Église continue à célébrer, dimanche après dimanche, le mystère de la mort et de la Résurrection du Christ. Tout au long de ces deux périodes, la liturgie utilise la couleur verte.

    • Le Temps du Carême, temps de pénitence et de conversion sur le chemin de Pâques, est une période de 40 jours qui prépare Pâques. Elle coïncide avec le séjour de Jésus qui a prié 40 jours dans le désert. C’est une invitation à la conversion qui commence le mercredi des Cendres.

    Au cours de cette période, la liturgie utilise la couleur violette.

    • Le cœur de « l’année liturgique », c’est la Semaine sainte, qui s’étend du dimanche des Rameaux au dimanche de Pâques.

    Ce n’est pas un temps liturgique à proprement parler mais c’est la plus importante semaine de l’année liturgique où les chrétiens revivent, auprès de Jésus, les différents moments de sa Passion, de sa mort et de sa Résurrection.

    • Le Temps de Pâques ou Temps pascal, est un temps de fête qui prolonge la fête de Pâques durant 6 dimanches. C’est une période de 50 jours jusqu’à la Pentecôte où l’on célèbre la venue de l’Esprit-Saint, qui, annoncé par Jésus (Jn, 14-16), continue à œuvrer dans l’Église et en chacun des croyants.

    Au cours de cette période, la liturgie utilise la couleur blanche.

    • le Temps ordinaire (2ème période)

    De dimanche en dimanche est revécu le mystère de la Pâques… jusqu’au nouveau cycle liturgique commençant par le premier dimanche de l’Avent.

     Les trois « années liturgiques » 

     * 33 - Les « temps » de la liturgie

    Du point de vue des lectures, on distingue trois « années liturgiques » appelées A, B, ou C : les lectures de l’Évangile du dimanche sont centrées ainsi sur :

    • la lecture de l’Évangile selon saint Matthieu, au cours de l’année A.
    • la lecture de l’Évangile selon saint Marc, au cours de l’année B.
    • la lecture de l’Évangile selon saint Luc, au cours de l’année C.

    Quant à l’Évangile selon saint Jean, il structure le Temps pascal chaque année.

    D’après le site « Eglise catholique en Yvelines »

    En synthèse, dans le catholicisme, le Temps ordinaire est un temps commun, en dehors des autres temps liturgiques ci-dessous :

    • le Temps de l'Avent
    • le Temps de Noël
    • le Temps du Carême, auquel appartient la Semaine Sainte
    • le Temps de Pâques.

    Dans le christianisme, nous pouvons donc considérer tout « temps liturgique » comme une fraction de « l'année liturgique ».

     Organisation du temps liturgique 

     * 33 - Les « temps » de la liturgie

    Le temps liturgique s'organise de la manière suivante :

    • Du 1er dimanche de l'Avent à la veille de Noël : le Temps de l'Avent, de l'attente et du désir, qui conduit à Noël, fête de la Nativité, célébration de la naissance de Jésus, Fils de Dieu, vrai Dieu et vrai homme.
    • De Noël au Baptême du Seigneur : le Temps de Noël, pour célébrer la manifestation – l’« épiphanie » – de Dieu parmi les hommes, qui s'achève par la célébration du Baptême du Christ.
    • Entre le Baptême du Seigneur et le mercredi des Cendres : le Temps ordinaire.
    • Du mercredi des Cendres à la veille de Pâques : le Temps du Carême (40 jours), période de pénitence et de conversion, moment fort de préparation des catéchumènes que l'Église accompagne sur le chemin du baptême à Pâques. Le Carême s'achève avec la Semaine Sainte, du dimanche des Rameaux et de la Passion au dimanche de Pâques.
    • De Pâques à la Pentecôte : le Temps pascal (50 jours) jusqu'à la Pentecôte, où les chrétiens célèbrent le don de l'Esprit-Saint qui, promis par Jésus (Jn, 14-16), continue à œuvrer dans l'Église et en chacun des croyants.
    • Entre la Pentecôte et l'Avent : le Temps ordinaire. De dimanche en dimanche est célébré le mystère de la Pâque... jusqu'au nouveau cycle liturgique qui commence le premier dimanche de l'Avent suivant.

    D’après le site de la Paroisse de Tresses

     En d’autres termes 

     * 33 - Les « temps » de la liturgie

    Le cycle temporal

    Le cycle temporal détermine la succession des temps liturgiques, en particulier les limites de l'année liturgique qui commence le 1er dimanche de l'Avent et se termine le samedi de la 34ème semaine du Temps ordinaire. Le cycle temporal est essentiellement mobile, dans la mesure où il est organisé autour de la fête de Pâques.

    Le cycle temporal est organisé en différentes périodes, dites « temps liturgiques » :

    • du premier dimanche de l'Avent à la veille de Noël est le Temps de l'Avent (Tempus Adventus) ;
    • de la solennité de Noël au Baptême du Seigneur est le Temps de Noël (Tempus Nativitatis) ;
    • du mercredi des Cendres à (exclusivement) la messe « In Cena Domini » est le Temps du Carême (Tempus Quadragesimae) ;
    • de la messe « In Cena Domini » aux vêpres du dimanche de Pâques, c’est le Triduum pascal (Triduum paschale Passionis et Resurrectionis Domini) ;
    • de Pâques à la Pentecôte, c’est le Temps de Pâques (Tempus Paschale) ;
    • entre le Baptême du Seigneur et le Carême (1ère période), puis entre la Pentecôte et l'Avent (2ème période), s’écoule le Temps ordinaire (Tempus « per annum »).

    Les deux fêtes les plus importantes de l'année sont deux solennités, Noël et Pâques, qui sont rehaussées par la célébration d'une « Octave ».

    Quant à la disposition des lectures au cours de la messe du dimanche et des fêtes, le calendrier suit un cycle de trois ans, ce qui permet de parcourir les trois Évangiles dits « synoptiques » : l'année A est réservée à l'Évangile selon Matthieu, l'année B lit l'Évangile selon Marc et c'est l'Évangile selon Luc qui est lu pendant l'année C. L'Évangile selon Jean est lu principalement pendant certaines fêtes, tous les ans.

    Lire pendant une année liturgique un des Évangiles permet de suivre en un an, ce que Jésus a vécu durant sa vie terrestre. La chronologie n'est pas suivie scrupuleusement puisque Jésus naît à Noël et meurt le Vendredi saint, ce qui laisserait une grande partie de l'année vide.

    D’après « Wikipédia » :

    « L’année liturgique » comprend le cycle temporal qui célèbre les mystères du Christ (Incarnation et Rédemption) et le cycle sanctoral qui comprend les dates auxquelles on fête les saints et la Vierge Marie. L’un comme l’autre sont à la fois biblique et eucharistique. Les fêtes de saints du calendrier romain général sont répartis en quatre grandes « classes » : les solennités, les fêtes, les mémoires obligatoires et facultatives.

    D’après André Chavasse, « Sanctoral et année liturgique », paru dans La Maison-Dieu n°52 sur le site « Liturgie et sacrements »

    Et d’après « Wikipédia »

     * 33 - Les « temps » de la liturgie

    Roue représentant l’année liturgique

     Les fêtes liturgiques 

     * 33 - Les « temps » de la liturgie

    L’année des chrétiens est marquée par un grand nombre de fêtes plus ou moins importantes. Ces fêtes rappellent l’essentiel des évènements vécus par Jésus. Elles manifestent notre foi en lui, Messie et Fils de Dieu.

    Le calendrier de l’Église catholique a été élaboré progressivement au fil des années, des siècles de l’église chrétienne. Il a été remanié pour la dernière fois en 1969, dans le prolongement de la réforme liturgique décidée au concile Vatican II et promulgué par le décret de la congrégation des rites du 21 janvier 1970.

    Ce cycle est rythmé par les grandes fêtes (Noël, Pâques, Ascension, Pentecôte, Assomption, Toussaint) et les temps de préparation : l’Avent qui prépare à Noël, et le Carême qui prépare à Pâques. Le Temps ordinaire est, lui, réparti sur deux périodes : du lendemain de la fête du Baptême du Seigneur au mercredi des Cendres, puis du lendemain de la Pentecôte à l’Avent. Le calendrier prend aussi en compte les fêtes de la Vierge et des saints, pour aider les chrétiens à vivre de leur exemple et de leur intercession tout au long de l’année.

     Pourquoi un Temps « ordinaire » ? 

     * 33 - Les « temps » de la liturgie

    Dans le calendrier liturgique, le Temps dit « ordinaire » désigne les périodes autres que les deux temps forts célébrés par l'Église : d'une part, l'Avent et le Temps de Noël ; et d'autre part, le Carême, la fête de Pâques et le Temps pascal jusqu'à la Pentecôte.

    Le « Temps ordinaire » n'a d'ordinaire que le nom. En dehors de Noël et du Temps pascal, c'est l'ensemble du temps liturgique qui permet aux fidèles de vivre sur une année complète tout le mystère du salut accompli par Jésus-Christ.

    Le Temps ordinaire (« Tempus per annum », en latin, ou le temps le long de l'année) comprend donc les 33 ou 34 semaines couvrant le reste de l'année : la première période va du lundi suivant la fête du Baptême de Jésus (célébré le dimanche après l'Épiphanie) au mercredi des Cendres (non compris) ; la seconde période s'étend de la Pentecôte au premier dimanche de l'Avent (non compris), qui ouvre la nouvelle année liturgique. Petite curiosité : les semaines du Temps ordinaire sont toujours numérotées de 1 à 34, même si l'on ne compte que 33 semaines cette année-là ; on saute dans ce cas une unité entre les deux périodes.

     À quoi sert ce temps ? 

    Dès les origines, l'Église a voulu que les fidèles revivent sur une année entière les événements de l'histoire du salut accomplis par Jésus-Christ. Pendant le Temps ordinaire, lorsqu'on ne commémore pas un fait précis de la vie du Christ, de la Vierge Marie ou d'un saint, c'est le dimanche lui-même, « Pâque hebdomadaire », qui est valorisé comme « jour de fête primordial qu'il faut proposer et inculquer à la piété des fidèles ». Le Temps ordinaire donne aussi aux fidèles l'occasion de progresser dans leur connaissance et leur compréhension des grands textes bibliques. Pendant les dimanches « ordinaires », en effet, à l'inverse des temps forts de l'année où les lectures sont choisies de façon thématique, on fait une lecture continue des textes (Épîtres et Évangile) de l'année en cours, selon un parcours conçu sur trois années A, B et C. En semaine, on lit les quatre Évangiles en une année et des passages importants d'autres livres de la Bible en deux ans.

     Comment fonctionne-t-il ? 

    L'année liturgique comprend en fait deux cycles qui se superposent. Le Temps ordinaire s'insère dans le cycle liturgique de base, dit « temporal ». Axé sur les événements de la vie du Christ, ce cycle a prééminence sur le cycle « sanctoral », consacré aux fêtes des principaux saints. La mobilité de la fête de Pâques et du temps liturgique qui en dépend, le fait que d'autres fêtes à date fixe tombent parfois le dimanche ont conduit à fixer des règles précises qui permettent de combiner ces deux cycles. Au fil des siècles, on avait ajouté dans l'année de très nombreuses fêtes de saints qui finissaient par éclipser la célébration du mystère pascal lui-même. Pour éviter cette dérive, Vatican II a largement revalorisé la célébration du dimanche, et a par ailleurs réduit le nombre des saints devant être fêtés par l'Église universelle, en confiant à chaque Église locale, nation ou ordre religieux la liberté de fêter les autres.

    Aujourd'hui, pendant le Temps ordinaire, les dimanches sont toujours célébrés, sauf s'ils coïncident avec une grande fête dite «solennité» du Seigneur, de la Vierge ou des saints (leur nombre est limité à onze dans l'année). En semaine, on célèbre toujours les fêtes et les mémoires « obligatoires » des saints. Les autres jours de la semaine, on a le choix entre les messes du Temps ordinaire, les mémoires «facultatives» et les messes consacrées à des dévotions diverses (dites « votives »).

     Les protestants, les orthodoxes ont-ils un temps ordinaire ? 

    Chez les protestants, l'année liturgique est rythmée d'une façon proche de celle des catholiques, hors les fêtes de la Vierge Marie et des saints. Comme les autres temps de l'année, le Temps ordinaire a des « spontanés » spécifiques. Ce sont les courts chants ou « répons » que l'assemblée reprend avec l'orgue et qui ponctuent les différentes parties du culte. Les lectures bibliques des dimanches sont désormais communes aux protestants et aux catholiques, avec toutefois une certaine liberté laissée au pasteur protestant pour choisir les textes sur lesquels il fera sa prédication. Quant aux couleurs liturgiques, l'Église luthérienne et quelques Églises réformées utilisent les mêmes que les catholiques, en plaçant par exemple une bande de tissu de couleur sur la Bible ouverte. Mais cette pratique n'est pas majoritaire dans le monde réformé.

    Pour les orthodoxes, « le temps de l'Église n'est jamais ordinaire ! », affirme avec conviction l'archiprêtre Serge Sollogoub. «On ne vit pas le temps d'une manière banale, confirme le théologien Michel Evdokimov, il y a toujours quelque chose à dire, on est toujours en chemin vers une fête du Christ, de la Vierge Marie, d'un saint…».

    Le monde orthodoxe compte en effet de très nombreuses fêtes de saints, quatre temps de Carême : le Carême de Noël, le Grand Carême de Pâques, le Carême précédant la fête de saint Pierre et saint Paul et le Carême de la Dormition (Assomption). La notion de temps ordinaire est donc peu employée. Dans la liturgie orthodoxe, deux cycles se chevauchent : le premier, qui comprend notamment les fêtes fixes, s'ouvre le 1er septembre sur la fête de l'« Indiction » ou Nouvel An ecclésiastique (le patriarche Bartholomée 1er de Constantinople en a fait une fête de la protection de l'environnement). Le second cycle commence après le dimanche de Pentecôte, il ouvre le temps eschatologique, le temps du Royaume.

    On compte les semaines à partir du dimanche de Pentecôte. Les couleurs des vêtements et ornements liturgiques sont plus variées que chez les catholiques. Leur emploi est relativement codifié dans les Églises dépendant du Patriarcat de Moscou. En revanche, dans le reste du monde orthodoxe, deux directives seulement prévalent : utiliser des couleurs sombres pendant le grand Carême pascal et des vêtements lumineux le jour de Pâques.

    Béatrice Bazil-la Croix dans un supplément à « Religion et Spiritualité »

    D’après le site « La Croix » – Croire

    Synthèse de recherches proposée par les Frères André et Jean-Paul, Chevaliers de la Sainte-Croix de Jérusalem

    Lien vers le sommaire de cette rubrique

    Attention à la date de parution des parchemins suivants !!!

    Lien vers le parchemin 34 - « Le Temps de l’Avent » le 22 / 11 / 2021

    Lien vers le parchemin 35 - « Le Temps de Noël »  le 24 / 12 / 2021

    Lien vers le parchemin 36 - « Le Temps ordinaire » le 07 / 01 / 2022

    Lien vers le parchemin 37 - « Le Temps du Carême » le 01 / 03 / 2022

    Lien vers le parchemin 38 - « La Semaine Sainte »  le 13 / 04 / 2022

    Lien vers le parchemin 39 - « Le Temps pascal » le 19 / 04 / 2022

    Références :

    https://www.paroissetresses.fr/tous-au-service-de-tous/etudes-bibliques/les-temps-liturgiques/quest-ce-que-le-temps-liturgique

    https://blog.egliseinfo.be/fetes/fetes-liturgiques/

    https://www.catholique78.fr/priercelebrer/liturgie/lannee-liturgique/

    https://www.paroissetresses.fr/tous-au-service-de-tous/etudes-bibliques/les-temps-liturgiques/quest-ce-que-le-temps-liturgique

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Calendrier_liturgique_romain

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Temps_liturgique

    https://liturgie.catholique.fr/accueil/annee-liturgique/

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Calendrier_liturgique_romain#:~:text=Le%20cycle%20sanctoral%20comprend%20les,les%20m%C3%A9moires%20obligatoires%20et%20facultatives

    https://www.latoilescoute.net/les-temps-liturgiques

    https://croire.la-croix.com/Definitions/Fetes-religieuses/Annee-liturgique/Pourquoi-un-temps-ordinaire


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