• * Etre en conscience

     Etre en conscience 

    Très chers Frères et Sœurs,

    Si nous avons été admis au sein de notre Ordre illustre des Chevaliers du Temple de Jérusalem, c’est peut-être parce que nous avons été séduits par un de ses objectifs : celui d’élever notre conscience.

    A chaque fois que nous ouvrons les travaux d’un de nos chapitres, le rituel nous invite à la construction du Temple et à poser symboliquement deux frontons – la charité et la fraternité – sur les quatre colonnes que sont la bonté, la générosité, la compréhension et la tolérance. Et par-dessus tout, nous plaçons enfin une toiture à deux versants : la conviction et la prise de conscience.

    Qu'est-ce que la prise de conscience ?

    La prise de conscience est la capacité à se remettre en question, à réaliser le chemin parcouru et les obstacles rencontrés, tout en étant capable d’en relativiser les conséquences.

    Le sujet d’étude le plus difficile à cerner est souvent sa propre personne. Il apparaît comme naturel de ne pas vouloir se placer sur un piédestal ou au contraire de refuser de se reconnaître de trop nombreuses faiblesses.

    L’objectivité est toujours plus difficile à atteindre lorsque l’introspection concerne l’entièreté de notre être. Il n’est pas évident de se regarder dans un miroir et d’éviter de se trouver des excuses ou de ne pas ressentir certains doutes, certaines peurs (souvent infondées) resurgir, obscurcissant notre jugement.

    Ces vérités rendent la prise de conscience matérielle difficile.

    Ce dont nous parlons ici, c’est d’une véritable aptitude à incorporer cette réflexion personnelle dans la définition de qui nous sommes, à en faire un pilier de notre développement personnel. La notion de réflexion est donc induite dans la prise de conscience.

    Pour favoriser ce mécanisme, il semblerait alors que nous devions rester à l’écoute de nos désirs, de nos besoins, de nos difficultés et de nos capacités réelles, afin d’affiner notre connaissance de soi.

    La prise de conscience, c’est en réalité ce mécanisme qui nous permet d’ingurgiter, d’utiliser les aléas de notre environnement (qu’ils émanent de différents domaines, comme le relationnel, le monde professionnel, de notre sentimentalité…) afin de nous permettre d’évoluer sereinement.

    La prise de conscience induit une volonté intérieure de mieux se connaître, de savoir s’écouter, de chercher à se respecter. C’est une forme de sensibilisation à soi-même et à l’Autre qui décrit un état d’attention interne, afin de savoir pourquoi nous agissons et réagissons tel que nous le faisons.

    Nous souhaitons tous décoder nos comportements, afin d’interpréter ce qui se passe en nous, dans notre être, notre mental, notre cœur et notre corps. Nous sommes là, en un instant précis, pour nous même, avec la conscience de ce que nous réalisons chaque jour.

    Pour comprendre les cheminements internes qui nous mènent là où nous sommes et là où nous devons être, nous pouvons commencer par identifier nos habitudes, prendre du recul sur une situation, faire confiance à notre intuition, ou bien nous regarder évoluer. Parce que s’éveiller en pleine conscience commence par s’éveiller à soi, aujourd’hui prenons le temps de nous recentrer, de nous écouter, d’être là, tout simplement…

    J’avoue qu’il y a une dizaine d’années je me suis aussi souvent demandé ce que pouvait bien vouloir dire cette expression « l’élévation de la conscience ».

    Si j’en crois ce que mentionne un de nos documents officiels en matière d’information aux profanes susceptibles d’être intéressés par nos activités spirituelles, l’élévation de la conscience – donnant la sagesse éclairée – est notre but majeur. C’est aussi une des valeurs que prône notre Ordre, à côté de l’ésotérisme chrétien, de la gnose christique, de la perpétuation des nobles traditions de la Chevalerie Templière de Stricte Observance de même que l’exercice de la charité.

    Mais ce document ne nous donne aucune définition, ni de la conscience, ni de son élévation, pour autant que notre conscience puisse effectivement s’élever. Mais s’élever vers qui ? Vers quoi ? L’exposé que Son Excellence se propose de nous développer un de ces soirs vise tout simplement le fait d’être en conscience. Cela signifierait-il que nous puissions aussi ne pas être en état de conscience ? Avant d’arriver à élever notre conscience, il importe donc d’apprendre à prendre conscience. Mais possédons-nous tous les rudiments de psychologie suffisants pour comprendre ce qu’est la conscience ?

    Aussi, pour tenter de faciliter la compréhension de ce sujet assez abstrait, je me suis livré à une petite recherche, tout simplement par amour fraternel, dans le simple but de rendre service, d’éclairer mes Frères et Sœurs.

    Qu’est-ce que la conscience ?

    La conscience, c’est la connaissance, intuitive ou réflexive immédiate, que chacun a de son existence et de celle du monde extérieur. C’est la représentation mentale claire de l'existence, de la réalité de telle ou telle chose. Par exemple, notre expérience personnelle peut nous donner une conscience du danger.

    Un psychologue nous dirait que la conscience est la fonction de synthèse qui permet à tout individu d'analyser son expérience actuelle en fonction de la structure de sa personnalité, et de se projeter dans l'avenir.

    La conscience, c’est l’intuition par laquelle l'individu prend à tout moment une connaissance immédiate et directe, plus ou moins complète et claire, de son existence, de ses états et de ses actes.

    La conscience est la faculté mentale d'appréhender de façon subjective les phénomènes extérieurs ou intérieurs et d'une façon plus générale sa propre existence.

    Il est important de distinguer :

    • La conscience comme phénomène mental lié à la perception et la manipulation intentionnelle de représentations mentales, qui comprend :

    1. la conscience du monde qui est en relation avec la perception du monde extérieur, des êtres vivants doués ou non de conscience dans l'environnement et dans la société (autrui).

    Ce premier sens indique une représentation, même particulièrement simplifiée, du monde et des réactions comparé à ce dernier. On parle alors de conscience du monde. C'est celle qui est évoquée dans des expressions comme perdre conscience, ou à l'inverse prendre conscience.

    2. la conscience de soi et de ce qui se passe dans l'esprit d'un individu : perceptions internes (corps propre), aspects de sa personnalité et de ses actes (identité du soi, opérations cognitives, attitudes propositionnelles).

    La conscience est un fait au sens où Descartes affirme dans les Méditations Métaphysiques que « l'âme est un rapport à soi ». L'introspection de la conscience considère ainsi le doute méthodique comme l'objet premier du rapport à soi.

    Dans un sens plus individuel, la conscience peut aussi correspondre à une représentation, même particulièrement simplifiée, de sa propre existence. On parle alors de conscience de soi, ou conscience réflexive.

    La conscience dans ce second sens implique celle du premier, puisque « se connaître » veut dire obligatoirement « se connaître dans ses rapports au monde » (y compris d'autres êtres potentiellement doués de conscience). 

    La conscience de soi est une des fonctions vitales qui sert à réagir aux situations, de bouger et parler spontanément.

    • La conscience morale, respect de règles d'éthique, qui sert à désigner le jugement moral de nos actions.

    La conscience psychologique est fréquemment évoquée comme une lumière, la conscience morale comme une voix : si la première nous « éclaire », la seconde nous « parle ». La conscience morale sert à désigner en effet le sentiment intérieur d'une norme du bien et du mal qui nous dit comment apprécier la valeur des conduites humaines, qu'il s'agisse des nôtres ou de celles d'autrui.

    Le terme conscience est par conséquent susceptible de prendre plusieurs significations, selon le contexte.

    Les aspects de la conscience

    • La conscience comme sensation : tout être doué de sensibilité, ou alors un système automatique, peut être dit dans une certaine mesure « conscient » de son environnement, dans la mesure où il répond à des stimuli. C'est ce qu'on sert à désigner sous le nom de « conscience du monde ».
    • La conscience spontanée, sentiment intérieur immédiat ; certains philosophes de l'Antiquité (par exemple les Stoïciens) parlent de toucher intérieur.
    • On peut distinguer une étape supérieure, en signifiant par le mot conscience un état d'éveil de l'organisme, état différent du précédent en ce sens qu'il ne comporte pas de passivité de la sensibilité ; en ce sens, il n'y a pas de conscience dans l'état de sommeil profond ou dans le coma.
    • Conscience de soi : la conscience est la présence de l'esprit à lui-même dans ses représentations, comme connaissance réflexive du sujet qui se sait percevant. Par cette présence, un individu prend connaissance, par un sentiment ou une intuition intérieurs, d'états psychiques qu'il se rapporte à lui-même comme sujet. Cette réflexivité renvoie à une unité problématique du moi et de la pensée, ainsi qu'à la croyance tout aussi problématique que nous sommes à l'origine de nos actes ; ce dernier sens est une connaissance de notre état conscient aux premiers sens.
    • La conscience comme conscience de quelque chose (conscience transitive, opposée à l'intransitivité du fait d'être conscient). Cette conscience renvoie à l'existence problématique du monde extérieur ainsi qu'à notre capacité de le connaître.
    • La conscience intellectuelle, intuition des essences ou des concepts.
    • La conscience phénoménale, comme structure de notre expérience.

    Dans la totalité de ces distinctions, on peut noter une conception de la conscience comme savoir de soi et vision immédiate de la pensée, et une autre comme sentiment de soi impliquant un sous-bassement obscur et un devenir conscient qui sont généralement exclus de la première conception.

    Il existe de nombreuses théories qui s'efforcent de rendre compte de la conscience. À partir de ces théories, on peut mettre en avant quelques groupes de questions principales :

    • Quelle est la nature de la conscience (et, par suite, son origine et son développement) ?
    • Quelles sont ses caractéristiques ?
    • Ou se trouve le siège de la conscience ?
    • Quel est son mode d'existence ?
    • Comment peut-elle exister à partir d'entités non-conscientes ?
    • Quelle est sa fonction ?
    • A-t-elle une causalité propre et, si oui, de quelle nature ?
    • Quelles relations la conscience entretient-elle avec les autres phénomènes de la réalité, physiques et mentaux ?

    On ne peut expliquer la conscience par la conscience : expliquer exige que l'explication ne fasse pas appel elle-même à une compréhension de ce qu'on souhaite précisément expliquer. En d'autres termes, on n'aura expliqué la conscience que quand cela aura été fait en termes ne faisant pas intervenir le mot ni le concept de « conscience ».

    Les caractéristiques de la conscience

    La conscience présente certains traits caractéristiques :

    • Le rapport au moi ;
    • la subjectivité : la conscience que j'ai de moi-même est différente de celle d'autrui ;
    • la structure phénoménale ;
    • la mémoire ;
    • la disponibilité, ou liberté de la conscience à l'égard des objets du monde ;
    • la temporalité ;
    • la sélectivité ;
    • l'intentionnalité : toute conscience est conscience de quelque chose, est tournée vers autre chose qu'elle-même : « La conscience n'a pas de dedans, elle n'est rien que le dehors d'elle-même » (Sartre).
    • l'unité ou synthèse de l'expérience.

    Qu’est-ce que « être en conscience » ?

    Bien souvent notre attention n’est pas dans l’acte qui est en train de s’accomplir. La pensée est une activité subtile et raffinée. Ainsi et pour regarder notre esprit afin de le connaitre, de le voir, de l’observer, notre regard intérieur doit devenir aussi raffiné et subtil que notre esprit.

    Si nous ne pouvons pas demeurer attentifs dans les activités concrètes de notre quotidien, comment pourrions-nous être attentifs à nos propres pensées ?

    Nous devons pratiquer l’attention et la vigilance dans toutes les activités quotidiennes, afin d’être capables d’observer nos pensées qui elles sont subtiles. D’abord, notre pensée ne devrait pas être mécanique. Nous avons certainement remarqué que pendant toute méditation nous commençons à entretenir même ces pensées que nous ne voulons pas entretenir. Non seulement nous devons être attentifs à nos pensées, mais le processus même de la pensée doit s’arrêter.

    Nous devons observer nos pensées comme un témoin sans venir s’identifier avec elles, sans saisir le mouvement et les remous (émotions) générés par nos pensées. Avec cette pratique de l’observation, les pensées commenceront à disparaître et ainsi notre subtilité, notre nature véritable, s’éveillera et notre calme intérieur grandira.

    Être en conscience, passe par l’observation.

    Être en conscience, passe par la présence.

    C’est donc faire preuve de vigilance et d’attention en nous-même dans chacun de nos instants.

    En conscience et sur le chemin de l’éveil de la conscience !

    Le fait de rester « en conscience au quotidien », cet état de fonctionnement permet d'analyser ses pensées, d'être vigilant à leur nature et par conséquent de rectifier le tir si la moindre pensée négative et involutive jaillit de notre esprit-mental !

    Être conscient de nos pensées, c'est fermer la porte à des énergies involutives.

    Dans la vie, nous avons besoin d'une conscience, pas d'une personnalité.

    La conscience est réelle, la personnalité est fausse.

    La personnalité est nécessaire à ceux qui n'ont pas de conscience.

    La conscience peut-elle être élevée ?

    Chaque homme aspire à son élévation spirituelle, même inconsciemment.

    Mais en quoi consiste réellement le progrès spirituel ? Et comment y parvenir ?

    L'élévation spirituelle est le mouvement de l'esprit vers des états de conscience plus élevés. Cette élévation spirituelle rapproche de Dieu. Elle permet à l'homme de jouer le rôle pour lequel Dieu l'a créé.

    La progression spirituelle s'acquiert par l'apprentissage de la connaissance et sa mise en pratique.

    Le véritable progrès est de s'élever vers son Créateur !

    L'homme est un esprit qui doit se développer et évoluer. Son évolution doit lui permettre d'atteindre Dieu son Créateur. Atteindre Dieu signifie le connaître, le comprendre et s'unir à lui.

    L'élévation spirituelle est donc le mouvement de l'esprit vers des niveaux de conscience élevés. Cette élévation spirituelle rapproche de l'état de connaissance absolue, c'est-à-dire de Dieu. C'est elle qui apporte l'harmonie avec son Créateur et avec soi-même.

    Se rapprocher de Dieu signifie aussi contribuer à son œuvre de création. Dieu a créé le monde et la vie qui l'habite. Il a créé la matière, l'énergie, l'espace et le temps. Il a aussi donné à l'homme la réflexion et le pouvoir de comprendre et d'agir. Car Dieu demande à l'homme de participer à son œuvre de création. Ainsi, le progrès qui est demandé à l'homme doit lui permettre de jouer le rôle pour lequel Dieu l'a créé. Ce rôle est de servir Dieu et de parachever la création.

    Le progrès spirituel conduit donc l'homme à devenir un petit dieu qui œuvre aux côtés de son Créateur, Dieu.

    Le progrès spirituel s'obtient par la connaissance

    La connaissance élève vers Dieu. Car Dieu est la connaissance absolue. Acquérir la connaissance essentielle rapproche donc de Dieu. La connaissance essentielle propulse l'esprit vers des niveaux d'un degré supérieur. Elle amène à une conscience plus élevée et éveillée. Elle lui permet d'évoluer et de parfaire sa personnalité.

    La connaissance apporte la clarté. Elle permet de comprendre le monde dans lequel on vit et sa finalité. Elle éveille et élève la conscience. Elle libère l’homme des influences négatives et le rend autonome.

    La connaissance apporte l'aptitude quand elle est mise en pratique. Elle permet de déterminer la meilleure façon de procéder pour aboutir à un résultat bénéfique. L'homme peut alors développer des attitudes positives et accomplir ses capacités.

    La connaissance apporte l'harmonie. Elle amène à l'équilibre et à l'unité entre les forces et les individualités. Car l'homme apprend que chaque chose a été créée dans un but précis. Il respecte donc la création et tout ce qui la compose.

    La connaissance essentielle est indissociable de la sagesse. Car la sagesse, c'est connaître, appliquer et transmettre la connaissance.

    Cherchons à accomplir notre progression spirituelle

    Nous avons été créés homme ou femme. A ce titre, Dieu nous a distingués des autres créatures et nous a donné la faculté de réflexion. Dieu nous a aussi donné la connaissance pour nous permettre d'évoluer et de parfaire notre personnalité.

    Nous ayant conçu de la sorte, Dieu nous demande d'évoluer et de progresser au cours de votre vie. C'est grâce à la connaissance essentielle que nous pourrons accomplir notre progression spirituelle.

    Cherchons la connaissance essentielle, comprenons-la, mettons-la en pratique. Prenons notre vie en mains, devenons créatifs et constructeurs. Cela nous rapprochera de notre Créateur !

    Quatre principes d'élévation de conscience

    L’élévation de la conscience ne me semble possible que si nous respectons quatre principes : l'humilité, la simplicité, l’authenticité et la spontanéité.

    Au cours de son évolution spirituelle, l’homme traverse sept étapes, chacune d’elles ayant certaines caractéristiques. La connaissance de celles-ci peut nous ouvrir la voie vers les niveaux supérieurs et nous conduire à la perfection.

    Les sept stades de l’élévation spirituelle

    1. Le premier niveau est le moins élevé. C’est celui de la conscience instinctive qui est proche de l’animal. La préoccupation spirituelle n’existe tout simplement pas.

    2. Le deuxième niveau est celui de la conscience collective. A ce niveau la personne développe son sens des relations humaines. Les personnes qui se situent à ce deuxième niveau d’évolution (ou de conscience) croient en l’existence d’un Être suprême, mais trop souvent encore, elles ont tendance à créer un Dieu qui sert leurs intérêts.

    3. Le troisième niveau est celui du mental. Là, l’individu situe son « je ». Il commence à s’individualiser. Ce troisième stade marque la recherche pleine d’aspiration de certaines méthodes efficaces d’éveil, d’une voie spirituelle authentique. Ce stade est caractérisé le plus souvent par une recherche fébrile et souvent livresque.

    À ce niveau, on rencontre des gens qui accordent encore une importance certaine à l’aspect matériel de l’existence, mais tout en croyant sincèrement en l’existence de Dieu. Ils ont découvert (ou entrevu) la relation qui existe entre Dieu et le reste de l’Univers.

    4. Le quatrième niveau est causal. C’est celui où nous pouvons nous connecter à notre âme. A ce niveau, nous pénétrons dans la partie de l’âme, celle de l’amour spirituel. Il se caractérise par le suivi persévérant et plein d’aspiration d’une voie spirituelle authentique. Ce quatrième niveau marque le début de la spiritualité dans le vrai sens du terme. Les personnes commencent à chercher l’Etre suprême à travers différents textes sacrés.

    5. Le cinquième niveau est celui de la super-conscience. L’amour est manifesté et exprimé pleinement. C’est celui de la pensée symbolique. Ce cinquième stade se caractérise par la stabilisation émotionnelle et la paix profonde intérieure. Ce stade est généralement accompagné par une compréhension juste et profonde, tant de la nature du réel, que du mental. L’être humain en question aspire avec force à ce que cette paix euphorique englobe le monde entier. A ce stade, la capacité d’aimer est beaucoup amplifiée. Ces personnes s’appliquent de façon diligente à se débarrasser de leurs préjugés. Conscientes des lois gouvernant notre Univers, elles tentent de les respecter le mieux possible.

    6. Le sixième niveau est celui de la conscience intuitive de l’âme. A ce niveau l’être n’a plus d’égo. Il n’est plus qu’une âme rayonnant d’amour et de lumière. Il est un message vivant de l’harmonie universelle.

    7. Le septième plan est celui du divin, de la conscience cosmique. Le corps s’embrase et l’énergie divine nous transforme en être de lumière. Nous tombons dans la conscience cosmique et l’illumination, et nous y restons pour l’éternité. Ce septième stade est celui de la libération spirituelle.

     

    Puisse cette synthèse de nombreuses recherches avoir suffisamment éclairé mes Frères et Sœurs afin de leur permettre une meilleure compréhension des propos que SE tiendra lors d’un de nos prochains Chapitres.

    Frère André B. Grand Chancelier Prieural

    Moine Chevalier de Notre-Dame

    Prochainement : Lien vers le parchemin de SE le Grand Prieur Magistral de Belgique "Etre en conscience"

    Sources consultées :

    https://chattylisa.wordpress.com/2016/03/18/limportance-des-remises-en-question/

    https://www.reussitepersonnelle.com/prise-de-conscience/

    https://www.studiosynergik.com/definition-prise-conscience/

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Conscience

    https://florieteller.com/bn059/

    http://www.histophilo.com/conscience.php

    https://www.stephenbatchelor.org/index.php/fr/les-cinq-aspects-de-la-conscience

    http://philia.online.fr/dossiers/d-01,1.php

    https://www.opc-connaissance.com/homme_vie/progres_spirituel.html

    https://isalalesetoiles.wordpress.com/tag/les-7-stades-de-levolution-spirituelle/

    https://lapressegalactique.com/2016/11/12/face-a-face-avec-lhumilite-la-simplicite-lauthenticite-et-la-spontaneite/

    https://lapressegalactique.com/2016/06/24/face-a-face-avec-lhumilite-la-simplicite-lauthenticite-et-la-spontaneite-en-soi/

    https://www.monde-omkar.com/blog/alain-jean/le-premier-des-quatre-principes-delevation-de-conscience-lhumilite-alain-jean

    http://enseignant-medecine-de-l-ame.com/2018/01/les-quatre-principes-d-elevation-la-simplicite.html

    http://enseignant-medecine-de-l-ame.com/2018/01/les-quatre-principes-d-elevation-de-conscience-l-authenticite


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