• * 01 - Solennité de Marie, Mère de Dieu

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    Rubrique « Notre dévotion à l’égard de Marie » – 01

     Solennité de Marie, Mère de Dieu 

     * Solennité de Marie, Mère de Dieu

    Introduction

    Huit jours après la Nativité du Seigneur et Sauveur Jésus-Christ, nous célébrons sa Mère, celle qui lui a donné son être humain, corps et âme par l'Esprit-Saint qui vient sur elle la plaçant dans l'orbite de la paternité divine. C'est pourquoi le concile d'Ephèse en 431, la proclama la « Theotokos », la Mère de Dieu, puisque son fils est Dieu, ce qui ne préjuge pas de la différence entre Marie, créature humaine, et Jésus, Fils éternel de Dieu.

    Naminis

    Marie

     * Solennité de Marie, Mère de Dieu

    Marie, fille juive de Judée, est la mère de Jésus de Nazareth.

    Les Églises catholique et orthodoxe accordent une place essentielle à Marie, qu'elles appellent Marie de Nazareth, Sainte Vierge, Vierge Marie, Notre Dame (plus souvent chez les catholiques francophones) ou Mère de Dieu (chez les orthodoxes comme chez les catholiques).

    Comme pour son fils Jésus, il est difficile d'écrire une biographie de Marie. Cependant, selon la tradition et les recoupements qui peuvent être faits dans les Saintes Écritures, elle est la fille unique de Joachim, descendant de David, et d'Anne, descendante d'Aaron. Marie est donc de maison royale et sacerdotale.

    Une grande partie des traces historiques se trouvent dans les récits apocryphes, qui développent souvent les élaborations présentes dans les textes canoniques du Nouveau Testament, mais qui peuvent aussi reconstituer une certaine trame historique.

    Dans les Églises catholique et orthodoxe, Marie est l'objet d'un culte particulier, supérieur au simple culte rendu aux saints et aux anges, appelé le culte d'hyperdulie1. C'est un des points de divergence important avec le protestantisme et les Églises réformées.

    1 L’hyperdulie chez les chrétiens, c’est-à-dire le culte marial, peut être considérée comme une évolution tardive du culte d’Isis, la déesse égyptienne, mais aussi d’Anat, figure de la virginité divine. (Patrick Jean-Baptiste - Par tous les dieux ! - Télérama, 14 décembre 2016).

    Pour les catholiques, le Canon 1186 du Code de droit canonique dispose qu'il s'agit de la vénération de la Bienheureuse Marie, toujours Vierge, établie par le Christ comme Mère de tous les hommes.

    D’après le site Wikipédia

     * Solennité de Marie, Mère de Dieu

    Origine, date, histoire de la fête de Marie mère de Dieu

    C’est Pie XI en 1932 qui institua d’abord la fête de Marie, mère de Dieu, le 11 octobre. Puis, la solennité de Marie, mère de Dieu, le 1er janvier a remplacé la cérémonie de la circoncision de Jésus. La solennité de Marie mère de Dieu a été introduite par la réforme liturgique consécutive au concile Vatican II.

    La date de la solennité de Marie, mère de Dieu, est donc le premier janvier, huit jours après Noël, depuis la réforme liturgique. Le 1er janvier fut la première fête mariale de la liturgie romaine, dès le 7ème siècle.

    La date de la fête de Marie, mère de Dieu, a été déplacée pour la mettre en relation avec la naissance de Jésus à Noël. La nouvelle date de la célébration de la fête de Marie, mère de Dieu, le 1er janvier, jour de l’an, met aussi en valeur la célébration de la solennité. C’est un aspect de l’histoire religieuse du premier janvier.

    D’après le site de la Communauté catholique du Pays d’Enhaut – Paroisse  de Château d’Oex – Le 31 décembre 2020

     * Solennité de Marie, Mère de Dieu

    Sens de la fête de Marie, mère de Dieu, et célébration de la solennité

    Depuis le concile d’Éphèse en 431, l’Église vénère la vierge Marie sous le titre de mère de Dieu, (Sancta Maria Dei Genitrix) en grec « Théotokos ». Cette solennité célèbre le mystère de l’incarnation. Quoique le titre de « Mère de Dieu » ne soit pas dans l’Écriture, il a une valeur œcuménique. Dans le titre de Mère de Dieu est contenu tout l’honneur de Marie. « Une femme mère de Dieu », c’est une formule audacieuse qui exprime bien le sens de la solennité de Marie, le sens de la fête de Marie, mère de Dieu.

    C’est par la célébration de la solennité de Marie, mère de Dieu, que l’on commence la nouvelle année. La célébration de la solennité de Marie, mère de Dieu, est faite le jour de l’octave de la Nativité, c’est-à-dire le 1er janvier. L’Évangile de la messe est la venue des bergers à la crèche. Benoît XVI a fait au Vatican une célébration de la solennité de Marie, Mère de Dieu, Reine de la paix.

    D’après le site des paroisses catholiques de Rueil Malmaison

     * Solennité de Marie, Mère de Dieu    * Solennité de Marie, Mère de Dieu    * Solennité de Marie, Mère de Dieu

    Images de Marie, mère de Dieu

    Les images de Marie, mère de Dieu, sont des images d’icônes, de statues et de peintures anciennes. Les images de Marie, mère de Dieu, n’ont pas été faites pour la solennité actuelle de la fête de Marie, mère de Dieu. Cependant ces images de Marie, Mère de Dieu, sont utilisées pour les célébrations du premier janvier.

    Une autre image de la Vierge Marie fréquente est celle de la Femme de l’Apocalypse couronnée de douze étoiles et qui a la lune sous ses pieds. Elle est très différente des images de Marie, Mère de Dieu. Sur la médaille miraculeuse, l’image de la Vierge Marie avec des rayons lumineux qui descendent de ses mains sont loin des images de Marie, Mère de Dieu. Ces rayons lumineux sont le symbole des grâces qui se répandent sur nous.

    D’après le site « Cyber-Curé » – Les fêtes mariales

     * Solennité de Marie, Mère de Dieu

    La Vierge Marie

    Huit jours après la célébration de la naissance de Jésus, c'est sa mère, Marie, qui est fêtée. Celle-ci a été proclamée la «Theotokos», Mère de Dieu en grec, par le concile d’Éphèse, en 431.

    Marie tient une place privilégiée dans la foi chrétienne. Mère de Jésus, elle est la première des disciples, celle qui a toujours fait la volonté de Dieu, écoutant sa parole et la mettant en pratique. Mère de Dieu, Marie est aussi mère des hommes.

    Extrait du site « La Croix – Questions de vie – Questions de foi »

     * Solennité de Marie, Mère de Dieu

    Marie, mère de Dieu, toujours vierge ?

    « Loin d'être un élément qui recroqueville la femme en elle, la virginité mariale étend sa féminité jusqu'aux confins du temps et de l'espace. Vous comme moi, avec la même densité, la même sincérité, la même certitude d'une relation personnelle et unique, nous pouvons interpeller son amour et lui donner le nôtre ».

    Didier Decoin, La Sainte Vierge a les yeux bleus, Seuil, 1984

    La foi chrétienne dit clairement qu'une femme a « enfanté Dieu » : Marie, toujours vierge et mère de Dieu. Dans cette double affirmation, nous nous arrêtons souvent sur la virginité de Marie.

    Marie a mis au monde Jésus, vrai homme : ainsi le Credo affirme-t-il que « par l'Esprit Saint, il a pris chair de la Vierge Marie et s'est fait homme ». Marie, jeune femme de Palestine, a porté en son sein son enfant, vrai homme et vrai Dieu. Voilà une maternité hors du commun reconnue par les croyants comme une « œuvre divine ». Ce que l'Église dit encore en affirmant la virginité de Marie.

    Les Évangiles de Matthieu (1,18) et de Luc (1,26-35) disent que Jésus n'a pas été conçu par l'union charnelle de Marie et Joseph, mais qu'il est né d'une vierge. Cette affirmation, posée dès les premiers temps de la chrétienté, ne va pas sans soulever bien des interrogations, voire de vives polémiques. Mais le propos de l'Église n'est pas d'abord de décrire une réalité gynécologique. Pour la foi catholique, la virginité de Marie reste liée à la divinité de Jésus comme un signe de l'Incarnation. Car «la conception virginale de Jésus n'est pas d'abord un mystère concernant Marie mais vise en premier lieu l'identité de Jésus», explique Bernard Sesboüé (Croire, Editions Droguet Ardant, 1999, p. 341). Et cette identité de Jésus n'est compréhensible dans la foi qu'à partir de la Résurrection. Son corps échappe à toute mainmise : « Jésus échappe à la loi de la corruption : signe, en négatif, de sa Résurrection. Il n'est pas né d'un père humain : signe, en négatif, de sa filiation divine, poursuit le théologien. Personne ne l'a déposé dans le sein de Marie. Personne ne l'a enlevé du tombeau ».

    En fait, les récits évangéliques mentionnent la virginité de Marie comme une conséquence du surgissement de Dieu dans l'histoire humaine : la naissance de Jésus qui prend chair n'est pas le résultat d'une paternité humaine, ni d'une rencontre sexuelle sur le mode mythologique entre un dieu et une femme, mais le fruit d'une intervention créatrice de l'Esprit. Croire en la virginité de Marie est un acte de foi : ni la science ni l'histoire ne permettent de dire le « comment » de la résurrection, ni le « comment » de la conception de Jésus. Marie elle-même, dans le récit de l'Annonciation, quand l'ange lui dit qu'elle enfantera un fils, pose la question « Comment cela se fera-t-il ? ».

    N'y voyons pas un récit symbolique mais, dans la foi chrétienne, un fait chargé de sens. C'est un signe de l'origine divine de Jésus. Et cette intervention de Dieu dans la naissance du Christ est aussi comprise comme une recréation de l'humanité tout entière, Jésus étant parfois désigné, notamment par l'apôtre Paul, comme « le nouvel Adam ». Adam, c'est l'humanité : avec le Christ, c'est une nouvelle humanité qui commence. En ce sens, Marie, Mère de Dieu, devient aussi mère de tous les hommes.

    Extrait du site « La Croix – Questions de vie – Questions de foi »

     * Solennité de Marie, Mère de Dieu

    Le sens de la célébration de ce jour

    Dans la fête du premier janvier, bien des fils s’entrecroisent. Pendant des siècles, ce jour fut consacré à la circoncision du Seigneur. C’était logique puisque l’Évangile dit clairement que ce rite, fondamental dans le judaïsme, a été accompli huit jours après la naissance de l’enfant. Simultanément, l’enfant recevait son nom : Joseph et Marie l’appelèrent « Jésus », selon l’indication de l’ange Gabriel.

    Le 1er janvier, s’achève aussi l’octave de Noël. La pratique de l’octave, aujourd’hui restreinte aux solennités de Noël et de Pâques, est un moyen de combattre le caractère fugace de la fête. Au lieu de passer à autre chose dès le lendemain de Noël ou de Pâques, nous sommes invités à « garder toutes ces choses » dans notre cœur, à les garder constamment dans notre cœur. Mais, déjà, au moins une semaine. Comme Marie. C’est pourquoi la liturgie de l’octave était particulièrement mariale. A Rome, la célébration solennelle avait lieu à Sainte Marie Majeure et l’on fêtait Marie « Mère de Dieu ».

    Depuis l’Antiquité, Marie a été invoquée comme « Mère de Dieu ».

    Notre foi chrétienne, celle des premiers conciles, s’exprime dans ces simples mots : Marie est la Mère de Dieu. Jésus, Celui qu’elle a mis au monde, est bien « Dieu » et, en lui, la réalité divine et la réalité humaine sont indissociables. Marie n’a pas seulement prêté au divin un corps pour lui permettre d’apparaître.  Elle a donné son humanité au Fils de Dieu venant en ce monde. Car la maternité n’est pas seulement une production de cellules. Elle concerne les personnes : la personne de la mère et la personne de l’enfant.

     * Solennité de Marie, Mère de Dieu

    En fêtant Marie comme « Mère de Dieu », nous comprenons que nous sommes devenus enfants de Dieu. Par l’Esprit-Saint qui a conçu le Fils dans le sein de la Vierge Marie, nous pouvons devenir, nous aussi, par l’action de l’Esprit-Saint, enfants de Dieu puisque nous sommes frères et sœurs de Jésus en son humanité. La solennité du 1er janvier est la traduction liturgique du Prologue de saint Jean : le Verbe s’est fait chair pour que nous devenions enfants de Dieu.

    Pour l’heure, Jésus est encore un nouveau-né : autour du berceau d’un nouveau-né s’échangent des vœux, pour lui et pour sa mère. Par un heureux hasard de calendrier, il se trouve que l’octave de Noël tombe le 1er janvier, le jour des vœux par excellence. Mais, dans la liturgie de cette solennité, l’orientation des vœux s’est inversée. C’est Jésus et sa Mère qui forment des vœux à notre intention, et tout particulièrement des vœux de paix. L’Enfant s’appellera « Jésus », « Dieu sauve ». Il est le « Prince de la Paix » et sa Mère, depuis le concile Vatican II, peut être invoquée comme « Mère de l’Église ». Marie est la première à avoir reçu sans limite la bénédiction de Dieu. Elle nous regarde avec tendresse, sachant, comme une mère, ce dont ses enfants ont besoin. Si nous avons un vœu à formuler, c’est que celui de Jésus et de Marie soit exaucé.

    Monseigneur Jacques Perrier, ancien évêque de Tarbes – Lourdes - Sur le site « Zenit » en français

    La complice de Dieu

    En célébrant Marie, Mère de Dieu, l’Église souligne que l’enfant qui est né d’elle était réellement Dieu, prenant sur lui notre humanité. Elle a accueilli dans ses bras le visage lumineux du Créateur, bénédiction promise à Israël depuis des siècles et révélée dans un nouveau-né.

    Vie liturgique, revue de pastorale liturgique publiée par Novalis à Montréal

     * Solennité de Marie, Mère de Dieu

    Conclusion

    Huit jours après la naissance de Jésus, l'Église célèbre la fête de sainte Marie, Mère de Dieu. Car, après Dieu, c'est à Marie que nous devons Jésus, notre Sauveur :

    « Par l'Esprit Saint, Il a pris chair de la Vierge Marie et s'est fait homme » (Credo).

    C'est de Marie que Jésus, le Fils de Dieu, a reçu son humanité : Il est vraiment Fils de Dieu (vrai Dieu) et vraiment Fils de Marie (vrai homme).

    Cette vérité fait partie de notre foi chrétienne. Mais elle fut contestée au 5ème siècle par l'hérétique Nestorius.

    C'est pourquoi le concile d'Éphèse, en 431, a proclamé Marie Mère de Dieu (« Theotokos », en grec), ce qu'elle est en toute vérité par la conception humaine du Fils de Dieu dans son sein.

    En même temps que la fête de la maternité divine de Marie, la liturgie célèbre deux autres fêtes : l'octave de la Nativité et la circoncision de l'enfant Jésus, ce qui chez les juifs avait rituellement lieu le huitième jour.

    Source : document pdf de moniqueberger.fr

    Solennité de Marie, Mère de Dieu

     * Solennité de Marie, Mère de Dieu

    Dès l'aube de l'année nouvelle, la solennité de sainte Marie, Mère de Dieu nous donne de célébrer la Vierge sainte. Et nous pouvons la prendre en exemple, au moment où les « bonnes résolutions » sont de mise.

    Marie est une femme de foi, soumise à la loi de Moïse, qui présente son enfant au Temple huit jours après sa naissance. C’est une vraie fille d’Israël, membre du peuple de Dieu, qui a choisi le Seigneur comme Pierre de fondation de sa vie et de la vie de sa famille.

    Marie est une femme de cœur, accueillante aux étrangers venus de loin adorer son fils. Elle n’a aucune peur de ces mages venus d’Orient qui veulent voir Jésus. Elle ne les attendait sans doute pas dans la grotte de Bethléem, mais elle les reçoit, dans la paix, dans la joie d’un foyer comblé.

    Marie est une femme de mémoire, retenant les événements et les méditant dans son cœur. Elle n’est pas la femme d’un moment. Elle sait que toute sa vie est sous le regard de Dieu. Sans aucun doute, elle garde en elle l’annonce de l’ange Gabriel, la joie de sa visite à Elisabeth, les souffrances du voyage à Bethléem, l’inquiétude de trouver un toit où mettre son enfant au monde. Son présent est habité par tout ce qui l’a précédé.

    La foi, le cœur et la mémoire sont constitutifs de notre être. La Vierge Marie s’appuie sur ces trois piliers, qui peuvent nous marquer dans un temps où la sécularisation, l’individualisme et l’instant prennent toujours plus de place. Nous aussi, soyons des hommes de foi, de cœur et de mémoire !

    Priez pour nous, sainte Marie, Mère de Dieu !

    Père Sébastien Thomas

    Document proposé par notre Frère JP VS – Visiteur prieural – Commandeur de « St-Georges »

     A notre tour, prions Notre-Dame, la Vierge Marie, Mère de Dieu ! 

     * Solennité de Marie, Mère de Dieu

    1. Demandons à Marie, Mère de Dieu, de nous faire rayonner la joie de Dieu.

    Père Gilbert Adam

    2. Ave Maria

     * Solennité de Marie, Mère de Dieu

    3. Au début de cette nouvelle année, que la bénédiction du Seigneur descende sur vous et y demeure à jamais et qu’il fasse de vous des gens renouvelés dans leur cœur et dans leur esprit pour sa plus grande gloire.

    Mgr Hermann Giguère

     * Solennité de Marie, Mère de Dieu

    Homélie : La fête de Marie, Mère de Dieu

    Dans ce chemin que sera la nouvelle année pour nous, Marie que nous fêtons aujourd’hui sous le titre de Mère de Dieu, sera celle qui nous conduit et nous ramène toujours vers son Fils Jésus.

    Saint Bernard (1090-1153) ce grand docteur de l'Église qui était aussi un grand dévot de Marie utilisait une image pour décrire le rôle qui est le sien dans la vie des chrétiens. Il la présentait comme un aqueduc qui est un conduit qui amène l’eau pour les besoins de toutes sortes. « Marie, disait-il, est comme un aqueduc. Mère de Dieu, elle porte et donne Jésus, son fils, comme une eau vivifiante qu’elle nous transmet dans toutes les circonstances de notre vie ».

     * Solennité de Marie, Mère de Dieu

    Saint Bernard, notre protecteur spirituel

    Ce rôle de Mère, d’intercession et d’intermédiaire a été bien mis en évidence par saint Jean lors de son récit des noces de Cana (Jean, 2,1-11) où il rapporte ce que Marie dit aux serviteurs qui constatent qu’il n'y a plus de vin : « Faites tout ce qu’il vous dira ». Et le miracle des urnes remplies de nouveau à pleine capacité de bon vin se produit faisant les invités s’exclamer «On sert d’abord le meilleur vin, mais ici c’est le meilleur qui est pour la fin !».

    Comme un aqueduc, un canal, Marie est pour toute personne baptisée la guide et la lumière qui non seulement nous mène à Jésus, mais elle est aussi, comme Mère de Dieu, celle qui nous donne Jésus. Elle l’a donné une fois à Bethléem en le mettant au monde, elle continue de le donner à chaque jour à tous ceux et celles qui se confient à elle. Marie a retenu tous les événements entourant la naissance de Jésus de façon spéciale comme le dit l'Évangile et elle les méditait dans son cœur. Elle peut ainsi nous aider à les faire nôtres et à les approfondir sans cesse nous aussi.

    Mgr Hermann Giguère P. H.– Le 27 décembre 2018

    Faculté de théologie et de sciences religieuses de l'Université Laval - Séminaire de Québec 

    Synthèse de recherches mise en page par le Frère André B.

    Moine-Chevalier de Notre-Dame et Moine-Chevalier Gardien du Saint Graal

    Références :

    https://nominis.cef.fr/contenus/fetes/1/1/2021/1-Janvier-2021.html

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Marie_(m%C3%A8re_de_J%C3%A9sus)

    https://paroissechateaudoex.wordpress.com/2020/12/31/fete-et-solennite-de-marie-mere-de-dieu-le-1er-janvier-messe-a-10h/

    https://www.rueil.diocese92.fr/evenement/solennite-de-marie-mere-de-dieu/

    https://cybercure.fr/les-fetes-de-l-eglise/fetes-mariales/article/le-1er-janvier-fete-de-marie-mere-de-dieu

    https://croire.la-croix.com/Saints/Sainte-Marie-Mere-de-Dieu

    https://croire.la-croix.com/Definitions/Bible/Marie/Marie-mere-de-Dieu-et-vierge

    Hors-série Pèlerin - 50 clés pour comprendre le Catéchisme de l’Église catholique - pp.17-18

    https://fr.zenit.org/2014/01/01/marie-mere-de-dieu-theotokos-un-mot-cle-de-la-foi-chretienne/

    http://www.vieliturgique.ca/index.php?option=com_content&task=view&id=80

    https://moniqueberger.fr/wp-content/uploads/2020/06/VM-06.1.MarieMeredeDieu.pdf

    http://www.pere-gilbert-adam.org/Sainte-Marie-Mere-de-Dieu.html

    https://www.hgiguere.net/Homelie-pour-la-fete-de-Sainte-Marie-Mere-de-Dieu-le-1er-janvier-le-Jour-de-l-An-Annee-C-Que-Dieu-nous-prenne-en_a872.html


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