• * 17 - Présentation de la Vierge Marie

    221121

    Rubrique « Notre dévotion envers Marie » – 17  

     Présentation de la Vierge Marie 

     * 17 - Présentation de la Vierge Marie

    Introduction

    La Présentation de Marie au Temple est une fête catholique et orthodoxe. Elle est aujourd'hui célébrée le 21 novembre en Occident comme en Orient.

    Origines

    Le Nouveau Testament ne contient aucun détail sur l'enfance de Marie. Le Protévangile de Jacques (ch. 6-10) comble ce silence depuis le 2ème siècle au moins. Marie, qui était miraculeusement née de Joachim et Anne, ses parents, alors qu'ils étaient dans leur vieillesse et ne pouvaient plus espérer avoir d'enfant, est présentée par eux au Temple de Jérusalem, selon leur promesse, encore toute petite, pour s'y préparer au rôle qu'on lui pressent dans la rédemption d'Israël. Le texte dit qu'elle « dansa ce jour-là, et ne se retourna pas en arrière ». Et elle resta dans le Temple, nourrie « par un ange » (C’est-à-dire par une aide providentielle !), jusqu'à l'âge de sa majorité – qui était de 12 ansâge auquel elle fut accordée en fiançailles à Joseph. Elle s'occupait de tisser le voile du Temple. Telle est peut-être l'origine de cette tradition, car selon les sources juives, des jeunes filles étaient engagées spécialement pour le tissage des treize tentures que l'on utilisait dans le Temple.

    L'institution de la fête est liée au règne de Justinien : le 20 novembre (543) étant la date de la dédicace d'une église dédiée à la Mère de Dieu (la Nea) qu'il fit construire à Jérusalem, selon Cyrille de Scythopolis (Cf. Vie de Jean l'Hésychaste, ch. 20).

    Éléments d'histoire

    Originaire de Jérusalem, la fête s'est répandue dans tout l'Orient chrétien puis, du fait de la piété mariale, elle fut répandue en Occident dès le haut Moyen Âge la suite de la diffusion en latin du Protévangile que constitue l'Évangile du Pseudo-Matthieu, lui-même repris et enrichi dans le « De Nativitate Mariae ».

    Philippe de Mézières est l'auteur d'un « Office de la Présentation de la Vierge », théâtral, mais ce n'est pas lui qui composa l'office religieux. Présentée au pape Grégoire XI, à Avignon le 21 novembre 1372, cette fête fut solennellement étendue à toute l'Église en 1585 par le pape Sixte V.

    D’après le site Wikipédia

     * 17 - Présentation de la Vierge Marie

    Qu’est-ce que la fête de la « Présentation de la Vierge Marie » ?

    Chaque 21 novembre, l'Église fête la présentation de Marie au temple. Un événement qui ne se trouve pas dans l'Évangile, mais qui se réfère à un évangile apocryphe, celui de Jacques le Mineur.

    Le Protévangile de Jacques (relatant des événements antérieurs à ceux évoqués dans les récits des quatre Évangiles canoniques) a été rédigé au 2ème siècle, probablement dans la région égyptienne. Il est présenté comme l’œuvre de l’apôtre Jacques le Mineur, fils d’Alphée.

    L’Église n’a pas retenu le Protévangile de Jacques comme canonique, en raison de sa datation tardive et du merveilleux dont il est imprégné.

    Le récit relate qu’à la naissance de Marie, Anne et Joachim, ses parents, voulurent remercier Dieu. Ils lui consacrèrent leur enfant.

     * 17 - Présentation de la Vierge Marie

    Voici l’extrait du Protévangile de Jacques :

    « …Joachim dit : “Menons-la au temple du Seigneur, pour accomplir la promesse que nous avons faite. Sinon le Maître s’irriterait contre nous et rejetterait notre offrande.”

    Mais Anne répondit : “Attendons sa troisième année, de peur qu’elle ne réclame son père ou sa mère.” Joachim opina : “Attendons.”

    L’enfant eut trois ans… Et le prêtre accueillit l’enfant et l’ayant embrassée, il la bénit et dit : “Le Seigneur Dieu a exalté ton nom parmi toutes les générations. En toi, au dernier des jours, le Seigneur manifestera la rédemption aux fils d’Israël.”

    Et il la fit asseoir sur le troisième degré de l’autel. Et le Seigneur Dieu répandit sa grâce sur elle. Et ses pieds esquissèrent une danse et toute la maison d’Israël l’aima ».

    Toutefois, derrière l’imagination de ce récit apocryphe (écrit considéré comme non authentique), la fête de la Présentation de Marie est le symbole de la consécration de la Sainte Vierge au Seigneur. Elle souligne la disponibilité de la Vierge Marie à la volonté divine : le cœur de Marie est entièrement dédié à Dieu.

     * 17 - Présentation de la Vierge Marie

    De l’Orient à l’Occident

    La piété populaire et la spiritualité mariale furent marquées par cette fête. D’abord en Orient puis en Occident. Dès novembre 543, les Églises d’Orient ont fêté « l’Entrée au temple de la Très Sainte-Mère de Dieu », à la basilique Sainte-Marie-la-Neuve, érigée à Jérusalem sur la colline de Sion en face de l’esplanade du Temple.

    Dans l’Empire byzantin, on trouve la référence à la Présentation de la Vierge Marie au Temple à partir du 8ème siècle. Elle connut un développement considérable à partir du 11ème siècle et devint extrêmement populaire pendant tout le Moyen Age.

    La fête de la Présentation est reconnue par le pape Grégoire XI en 1372. Elle ne sera cependant inscrite au calendrier liturgique d’Occident qu’en 1585, par le pape Sixte V. Aujourd’hui encore, cette fête est honorée par les chrétiens : « Que Marie nous enseigne à recevoir avec amour ceux qui viennent dans nos églises ».

    Ainsi, le 21 novembre 2014, le pape François disait : « Aujourd’hui, la liturgie célèbre la présentation de la Sainte Vierge au temple : une jeune fille. Et comme une femme simple, comme Anne, entre à ce moment-là la Sainte Vierge. Qu’elle nous enseigne à tous, à tous les prêtres et à tous ceux qui ont une responsabilité pastorale, à maintenir le Temple pur, à recevoir avec amour ceux qui y viennent, comme si chacun d’entre eux était la Sainte Vierge ».

    Extrait du site « Le Pèlerin – L’actu à visage humain »

     * 17 - Présentation de la Vierge Marie

    L’entrée au Temple de la Mère de Dieu

    La Présentation de la Théotokos (la Sainte Mère de Dieu) au Temple, aussi appelée l'Entrée au Temple de la Mère de Dieu, est une des Grandes Fêtes de l'Église Orthodoxe, célébrée le 21 novembre.

    Selon la tradition, la Vierge Marie fut emmenée – présentée – par ses parents Joachim et Anne dans le Temple juif à Jérusalem, alors qu'elle était encore une petite fille, et elle y vécut et servit comme vierge du Temple jusqu'au moment de ses fiançailles avec saint Joseph. Une des plus anciennes sources de cette tradition, c'est le Protévangile de Jacques, non-canonique, aussi appelé l'Évangile de l'Enfance par Jacques.

     * 17 - Présentation de la Vierge Marie

    Marie fut solennellement reçue par la communauté du temple, qui était dirigée par le prêtre Zacharie, le père de Jean le Baptiste. Elle fut introduite dans le lieu saint pour devenir elle-même le « Saint des Saints » de Dieu, le sanctuaire vivant et temple du Divin Enfant qui allait naître d'elle. L'Église voit aussi cette fête comme celle qui marque la fin du temple physique à Jérusalem comme demeure de Dieu.

    Extrait du site « Orthodoxwiki »

     * 17 - Présentation de la Vierge Marie

    Homélie

    Frères et sœurs,

    On pourrait s’étonner que, parmi les quatre grandes fêtes de la Mère de Dieu – sa Nativité, son Entrée au Temple, l’Annonciation et sa Dormition – seule l’Annonciation se réfère au Nouveau Testament, et encore au seul Évangile de Luc. Les autres s’inspirent de récits qu’on appelle “apocryphes”, c’est-à-dire des récits populaires, souvent romancés, qui n’étaient pas lus publiquement dans les églises (de là leur nom, car “apocryphe” veut dire “caché”, “non publique”) mais dont quelques-uns (la minorité, certainement) étaient recommandés comme lecture personnelle et ont fort influencé les fêtes de l’année liturgique. C’est que, malgré leur caractère romancé, ces textes (souvent très anciens) essayaient d’exprimer en termes poétiques, symboliques et imagés un aspect central de l’histoire de notre salut.

    C’est le cas notamment du Protévangile (Littéralement : l’évangile qui précède les Évangiles retenus dans le Nouveau Testament) de saint Jacques, un apocryphe du deuxième siècle, qui est à l’origine des deux premières fêtes mariales de l’année liturgique : la Nativité de la Vierge (8 septembre) et son Entrée au Temple, que nous fêtons aujourd’hui (21 novembre).

     * 17 - Présentation de la Vierge Marie

    A l’âge de trois ans – nous raconte ce récit – la petite Marie est amenée au Temple de Jérusalem par ses parents Joachim et Anne pour y être offerte (consacrée) au Seigneur et pour « être à son service tous les jours de sa vie ». Accompagnée des filles d’Israël qui portent des flambeaux, elle se rend tout droit – et sans regarder en arrière – vers le grand-prêtre Zacharie qui l’accueille et la conduit, à l’étonnement de tous, au Saint des Saints du Sanctuaire, là où seul le grand-prêtre pouvait pénétrer une fois par an, après s’être purifié. Marie y restera jusqu’à l’âge de douze ans lorsqu’elle sera fiancée à Joseph. Nourrie miraculeusement par des anges, elle passe sa vie au Temple dans la prière, la méditation de la Parole de Dieu et – ajoutent d’autres écrits plus tard – le tissage et la couture. Elle y aurait confectionné notamment le Voile du Temple (celui qui se déchirera à la mort de Jésus) et la Tunique sans couture de Jésus, symbole de l’Église indivise.

    Les hymnes liturgiques de ce jour reprennent et développent ce récit en lui donnant le sens profond qu’il doit avoir. Car nous ne célébrons pas ici l’entrée d’un enfant au Sanctuaire ou l’éducation religieuse, exceptionnelle, d’une petite fille, aussi touchant que cela puisse nous paraître ! Non, et les textes liturgiques le soulignent : Aujourd’hui nous fêtons, nous dit le tropaire, « le prélude de la bienveillance de Dieu » et « le salut du genre humain ». La Vierge « annonce à tous le Christ » car en elle « se réalise le plan du Créateur ».

    Ce que nous fêtons, ce n’est pas un conte de fée, « un événement qui n’a pas eu lieu », un événement non-historique, mais l’événement de notre salut : notre salut qui a été réalisé par la naissance de Jésus, notre Seigneur, de la Vierge Marie. A partir de ce jour nous chantons déjà l’hymne de Noël : « le Christ est né, glorifions-le ! ».

    La petite vierge Marie n’est pas entrée au Temple pour apprendre à être vierge – car elle l’était et elle le sera toujours –, mais pour grandir et apprendre à être femme et mère, pour se préparer à la naissance de son fils Jésus, pour méditer sa vie en silence, pour être là aux noces de Cana, pour se tenir aussi sous sa Croix. En un seul mot : elle est entrée au Temple pour accueillir en elle le Verbe de Dieu et se préparer à lui donner sa chair. Grâce à elle, nous aurons un Dieu « en chair et en os », un Dieu que nous pouvons toucher et qui nous touche, à qui nous pouvons parler et qui nous écoute, qui  nous prend par la main pour nous sauver. Elle entre au Temple et au sanctuaire, au Saint des Saints, pour se préparer – et pour préparer l’humanité toute entière – à être Temple de Dieu, lieu de rencontre entre Dieu et les hommes, présence du Dieu-parmi-nous (l’Emmanuel) dans l’Église et dans chacun de nous. Elle le fait comme une petite fille, il est vrai, comme un enfant qui est tout accueil, qui ne demande rien mais qui reçoit tout. Mais elle le fait aussi comme une femme qui peut accueillir en elle un enfant, une nouvelle vie qui changera sa vie, et la vie de tous ceux qui la reçoivent.

    « Aujourd’hui, c’est le prélude de la bienveillance de Dieu », nous chante le tropaire de cette fête. L’Entrée de la Mère de Dieu au Temple est l’image et la fête de notre baptême, où nous sommes devenus Temple nous-mêmes. A notre baptême, en effet, Dieu est venu vivre dans ce qu’il y a de plus précieux, de plus sacré dans sa création : le cœur de l’homme. Il est venu vivre en nous pour nous transformer en Lui.

    Notre baptême, frères et sœurs, nous a donné à la fois notre dignité et notre destinée. Notre dignité, nous l’avons de Lui : c’est Lui qui nous a créés. C’est Lui qui nous a recréés en devenant Homme et en prenant notre nature pour en faire son Temple. Mais notre dignité et notre destinée dépendent aussi de nous. Soyons-en conscients !

    Comme la Vierge Marie, préparons-nous donc à accueillir le Seigneur en nous par la prière et l’écoute de sa Parole, mais aussi par l’amour de nos frères et sœurs. Il se rend présent à nous et Il s’offre à nous aussi dans chaque Eucharistie, quand nous communions à son Corps et à son Sang. Mais il se manifeste aussi à nous dans chacun de nos frères et sœurs, qui sont le Corps du Christ, le Temple de Dieu, le lieu de sa demeure et la manifestation de sa gloire. Soyons conscients de cette dignité et soyons dignes de notre appel. Amen.

    Père Antoine Lambrechts – Monastère de Chevetogne

    Conclusion

    Les années d’enfance de la très sainte Vierge Marie sont restées silencieuses, à l’image de son humilité. La Sainte Écriture ne nous en parle pas. Cependant, les chrétiens ont désiré connaître sa vie avec plus de détails, et cela était une aspiration légitime. Et comme les Évangiles passaient sous silence la vie de la Vierge Marie jusqu’à l’Annonciation, la piété populaire, en s’inspirant de plusieurs passages de l’Ancien et du Nouveau Testament, a rapidement élaboré quelques récits simples que l’on retrouve ensuite dans l’art, la poésie, et dans la spiritualité chrétienne.

    L’un de ces épisodes, peut-être le plus représentatif, est la Présentation de la Vierge Marie. L’enfant est offert à Dieu par ses parents, Joachim et Anne, dans le Temple de Jérusalem, là même où une autre Anne, mère du prophète Samuel, avait offert son fils pour le service de Dieu, ce même temple où des années plus tard, Marie et Joseph se rendraient pour y apporter l’Enfant Jésus nouveau-né, pour le présenter au Seigneur.

    En toute rigueur, il n’y a pas de récit de ces années de la Vierge Marie, nous n’avons que ce que la Tradition nous a transmis. Le premier texte écrit qui fait référence à cet épisode – et de celui-ci dépendent les nombreux témoignages postérieurs – est le Protévangile de Jacques, un écrit apocryphe du 2ème siècle. Apocryphe signifie qu’il n’appartient pas au canon des livres inspirés par le Seigneur. Mais cela n’exclut pas que quelques-uns de ses récits ne contiennent pas des éléments de vérité. En effet, une fois dépouillé des détails légendaires, l’Église a inclus cet épisode dans la liturgie. Tout d’abord, à Jérusalem, où l’on a consacré en 543 la basilique Sainte-Marie-la-Neuve en souvenir de sa Présentation. Au 14ème siècle, la fête est passée à l’Occident, où sa commémoration liturgique a été fixée au 21 novembre.

    Marie entre au Temple. Toute sa beauté et sa grâce – elle est toute belle dans son âme et dans son corps – sont pour le Seigneur. Voilà quel est le contenu théologique de la fête de la Présentation de Marie.

    Marie a continué à vivre normalement avec Joachim et Anne, de même que Jésus a continué à vivre avec ses parents lorsqu’il fut présenté au Temple. Là où Marie se trouvait – assujettie à ses parents, jusqu’à devenir une femme – là était la pleine de grâce, avec son cœur disposé à servir entièrement Dieu et les hommes, par amour de Dieu.

    La Vierge a grandi devant Dieu et devant les hommes. Personne n’a remarqué quoi que ce soit d’extraordinaire dans son comportement, même si, très certainement, elle impressionnait ses proches, car la sainteté ne passe pas inaperçue. Elle était une jeune femme souriante, travailleuse, toujours recueillie, et tout le monde était heureux d’être à ses côtés. Dans ces moments de prière, elle qui connaissait bien les écritures, elle relisait de temps à autres les prophéties qui annonçaient l’avènement du Sauveur. Elle les faisait vie de sa vie, l’objet de sa méditation, un sujet de conversation. De cette richesse intérieure devait jaillir le Magnificat, cette hymne splendide qu’elle prononça en écoutant sa cousine Elisabeth.

    Tout dans la Vierge Marie est orienté vers la Très sainte Humanité du Christ, le vrai temple de Dieu. La fête de sa présentation exprime cette appartenance exclusive de Notre-Dame à Dieu, le don total de son âme et de son corps au mystère du Salut, le mystère de la proximité de Dieu avec sa créature.

    Sainte Marie a permis qu’autour d’elle fleurisse l’amour de Dieu. Elle y est parvenue sans se faire remarquer, parce que ces œuvres étaient des choses de tous les jours, des petites choses pleines d’amour.

    J. A. Loarte – Vie de Marie III - La Présentation de la Vierge – Site « Opus Dei »

     * 17 - Présentation de la Vierge Marie

    La Présentation de la Vierge Marie au Temple, dans l’art

    Le sujet iconographique a souvent été traité par les peintres.

     * 17 - Présentation de la Vierge Marie

    Ce tableau a été peint vers 1643.

    Giovanni Andrea Sirani (Bologne, 4 septembre 1610 - Bologne, 21 mai 1670)

    est un peintre italien du XVIIème siècle appartenant à l'école bolonaise.

     

     * 17 - Présentation de la Vierge Marie

    « Présentation de Marie » par Jacopo Rubisti dit « Tintoretto » (Le Tintoret)

     

     * 17 - Présentation de la Vierge Marie

    La « Présentation de Marie au Temple » par Le Titien

     

     * 17 - Présentation de la Vierge Marie

    Œuvre du maître-verrier français Henri Feur

    (né à Bordeaux, le 18 juillet 1837 et mort dans la même ville, le 18 mai 1926)

    connu pour ses vitraux d'art.

     

     * 17 - Présentation de la Vierge Marie

    La « Présentation de la Vierge au Temple »

    peinture exécutée par Cima da Conegliano, entre 1496 et 1497

     

     * 17 - Présentation de la Vierge Marie

    La « Présentation de Marie » par Vittore Carpaccio,

    peintre italien narratif de l'école vénitienne,

    de son vrai nom Scarpazza ou Scarpaccia,

    né vers 1465 à Venise (Italie) et mort en 1525 ou 1526 à Capo d'Istria,

    (Pinacothèque de Brera, Milan)

     

    Synthèse de recherches mise en page par le Frère André

    Moine-Chevalier de Notre-Dame

    Références :

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Pr%C3%A9sentation_de_Marie_au_Temple  

    https://www.lepelerin.com/foi-et-spiritualite/questions-de-religions/qu-est-ce-que-la-fete-de-la-presentation-de-la-vierge-marie/

    https://fr.orthodoxwiki.org/Entr%C3%A9e_au_Temple_de_la_M%C3%A8re_de_Dieu

    https://www.monasteredechevetogne.com/blogart27


  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires

    Vous devez être connecté pour commenter