• Fête de sainte Marie-Madeleine

     * Sainte Marie Madeleine

    Pourquoi l'Eglise fête-t-elle Marie-Madeleine ?

    Par décision du pape François, sainte Marie-Madeleine, est désormais fêtée par l'Église entière le 22 juillet. Une manière de mettre à l'honneur « l'apôtre des apôtres » et les femmes disciples de Jésus.

    Première témoin du tombeau vide au matin de Pâques, première à annoncer la résurrection du Christ aux apôtres, sainte Marie-Madeleine a eu un rôle pionnier dans l'Église.

    C'est ce qui a motivé le Vatican dans sa décision de faire une fête de ce qui était jusqu’ici dans le calendrier liturgique romain une mémoire obligatoire. Dans les célébrations liturgiques, la fête est un degré moins élevé qu’une solennité mais plus important que la mémoire d’un saint, laquelle peut être obligatoire ou facultative.

    Gilles Donada, avec Sébastien Maillard de La Croix et la Documentation catholique

    Marie-Madeleine et son énigme

    Marie-Madeleine est « témoin de l'essentiel ». Dans les Évangiles, elle est présente au moment de la mort et de la résurrection de Jésus.

    Apôtre, prêcheuse, pécheresse repentie, ascète, mystique, on a tout dit de Marie-Madeleine, visage ou personnage qui depuis longtemps fascine ou fait rêver. Parce qu'elle est une belle figure de femme. Parce qu'elle est pécheresse repentie. Parce que les Évangiles la montrent proche de Jésus.

    On a tout dit de Marie-Madeleine. Était-elle la sœur de Lazare ? Ou cette femme de Magdala dont Jésus « chassa sept démons » ? Ou bien peut-être cette pécheresse qui pleura aux pieds de Jésus un jour, chez Simon le Pharisien ? La voilà encore au pied de la Croix lorsque Jésus meurt comme un maudit !

    Jacques Nieuviarts, bibliste - La Croix - Croire

    Pour de plus amples informations, consultez les 8 parchemins de notre nouveau dossier : " Sainte Marie-Madeleine "

    Lien avec le sommaire

    Liturgie de la Sainte-Marie-Madeleine

    22 juillet

     * Sainte Marie Madeleine

    Le 22 juillet, la liturgie propose trois textes bibliques qui décrivent la personnalité de Marie-Madeleine, avec en particulier un extrait du Cantique des cantiques.

    La Croix – Questions de vie – Questions de foi

     * Sainte Marie Madeleine

    1ère lecture : Cantique des cantiques, Chapitre 3, 1-4

    Toute la nuit j'ai cherché celui que mon cœur aime.

    Étendue sur mon lit, je l'ai cherché, je ne l'ai pas trouvé !

    Il faut que je me lève, que je parcoure la ville, ses rues et ses carrefours.

    Je veux chercher celui que mon cœur aime...

    Je l'ai cherché, je ne l'ai pas trouvé !

    J'ai rencontré les gardes qui parcourent la ville : « Avez-vous vu celui que mon cœur aime ? ».

    A peine les avais-je dépassés, j'ai trouvé celui que mon cœur aime.

    Je l'ai saisi, je ne le lâcherai pas.

    – Parole du Seigneur –

    Texte fourni par La Croix - Croire

     * Sainte Marie Madeleine

    Commentaire 1 :

    Ce chapitre contient une première paire de rêves faite par la Sulamite, le premier se situant avant son mariage (versets 1-6) et l’autre après celui-ci (5:2-8). Ici elle rêve qu’elle cherche avec inquiétude son amour et le trouve finalement. Le thème de la «présence-absence» est ainsi mis en évidence dans le Cantique. Comme avec le premier couple dans le Jardin d’Éden, les amants ont besoin l’un de l’autre pour être complets et entiers ! Ici et ailleurs dans le Cantique nous trouvons la preuve d’une relation égale dans laquelle la femme est aussi active que l’homme dans la prise de l’initiative et dans la construction de la relation.

    Dans son application spirituelle, ces versets décrivent l’amour ardent que Dieu désire que nous ayons pour Lui, un amour qui le cherche et ne le laissera pas s’en aller !

    Commentaires de Richard M. Davidson, Professeur d'Interprétation de l’Ancien Testament - Université d’Andrew - Séminaire Théologique

     * Sainte Marie Madeleine

    Psaume : 62 (63)

    Dieu, tu es mon Dieu, je te cherche dès l'aube : mon âme a soif de toi ; après toi languit ma chair, terre aride, altérée, sans eau.

    Je t'ai contemplé au sanctuaire, j'ai vu ta force et ta gloire.

    Ton amour vaut mieux que la vie : tu seras la louange de mes lèvres !
    Toute ma vie je vais te bénir, lever les mains en invoquant ton nom.

    Comme par un festin je serai rassasié ; la joie sur les lèvres, je dirai ta louange.
    Dans la nuit, je me souviens de toi et je reste des heures à te parler.

    Oui, tu es venu à mon secours : je crie de joie à l'ombre de tes ailes.
    Mon âme s'attache à toi, ta main droite me soutient.

    Texte fourni par La Croix - Croire

     * Sainte Marie Madeleine

    Commentaire 2 :

    « Je crie de joie à l’ombre de tes ailes » : c’est beau, mais c’est quand même étonnant ! En fait, il faut se transporter en pensée, à l’intérieur du Temple de Jérusalem (avant sa destruction, bien sûr, en 587 av. J.-C. par Nabuchodonosor)... et supposer que nous sommes prêtres ou lévites. Là, dans le lieu  le plus sacré, le « Saint des Saints », se trouvait l’Arche d’Alliance : attention, quand nous disons Arche aujourd’hui, nous risquons de penser à une œuvre architecturale imposante : les Parisiens penseront peut-être à ce qu’ils appellent la Grande Arche de la Défense... Pour Israël, c’est tout autre chose ! Il s’agit de ce qu’ils avaient de plus sacré : un petit coffret de bois précieux, recouvert d’or, à l’intérieur comme à l’extérieur, qui abritait les Tables de la Loi. Sur ce coffret, veillaient deux énormes statues de chérubins.

     * Sainte Marie Madeleine

    Les « Chérubins » n’ont pas été inventés par Israël : le mot vient de Mésopotamie. C’étaient des êtres célestes, à corps de lion, et face d’homme, et surtout des ailes immenses. En Mésopotamie, ils étaient honorés comme des divinités... En Israël au contraire, on prend bien soin de montrer qu’ils ne sont que des créatures : ils sont représentés comme des protecteurs de l’Arche, mais leurs ailes déployées sont considérées comme le marchepied du trône de Dieu. Ici, un prêtre en prière dans le Temple, à l’ombre des ailes des chérubins se sent enveloppé de la tendresse de son Dieu depuis l’aube jusqu’à la nuit.

    Les autres images de ce psaume sont toutes également empruntées au vocabulaire des lévites : « Je t’ai contemplé au sanctuaire » : ils étaient les seuls à pénétrer dans la partie sainte du Temple... « toute ma vie, je vais te bénir » : effectivement toute leur vie était consacrée à la louange de Dieu... « lever les mains en invoquant ton nom » : là nous voyons le lévite en prière, les mains levées... « Comme par un festin je serai rassasié », c’est une allusion à certains sacrifices qui étaient suivis d’un repas de communion pour tous les assistants, et d’autre part, on sait que les lévites recevaient pour leur nourriture une part de la viande des sacrifices... « Dans la nuit, je me souviens de toi, je reste des heures à te parler » : lorsqu’ils étaient de service à Jérusalem, leur vie entière se déroulait dans l’enceinte du Temple.

    En fait, ce psaume est une métaphore : ce lévite, c’est Israël tout entier qui, depuis l’aube de son histoire et jusqu’à la fin des temps, s’émerveille de l’intimité que Dieu lui propose : « Dieu, tu es mon Dieu, je te cherche dès l’aube, mon âme a soif de toi... »  Et quand il dit « dès l’aube », il veut dire depuis l’aube des temps : depuis toujours le peuple d’Israël est en quête de son Dieu. « Mon âme a soif de toi ; après toi languit ma chair, terre aride, altérée, sans eau » : en Israël, ces expressions sont très réalistes : la terre désertique, assoiffée, qui n’attend que la pluie pour revivre, c’est une expérience habituelle, très suggestive.

    Depuis l’aube de son histoire, Israël a soif de son Dieu, une soif d’autant plus grande qu’il a expérimenté la présence, l’intimité proposée par Dieu. Et donc, à un deuxième niveau, c’est l’expérience du peuple qui affleure dans ce psaume : par exemple « mon âme a soif de toi, après toi languit ma chair, terre aride, altérée, sans eau »  est certainement une allusion au séjour dans le désert après la sortie d’Égypte et à l’expérience terrible de la soif à Massa et Meriba (Ex 17). La plus belle prière est certainement celle qui jaillit de notre pauvreté spirituelle, comme la plainte du déshydraté : « J’ai soif ».

     « Je t’ai contemplé au sanctuaire » est une allusion aux manifestations de Dieu au Sinaï, le lieu sacré où le peuple a contemplé son Dieu qui lui offrait l’Alliance. « J’ai vu ta force et ta gloire », dans la mémoire d’Israël, cela évoque les prodiges de l’Exode pour libérer son peuple de l’esclavage en Égypte. Tout autant que la formule « Tu es venu à mon secours » : on n’oubliera jamais, de mémoire d’homme, en Israël, cette phrase de Dieu à Moïse : « Oui, vraiment, j’ai vu la misère de mon peuple en Égypte et je l’ai entendu crier sous les coups de ses chefs de corvée. Oui, je connais ses souffrances. Je suis descendu pour le délivrer » (Ex 3, 7).

    Quand on méditait sur cette libération apportée par Dieu, on comparait parfois celui-ci à un aigle apprenant à ses petits à voler : « Il est comme l’aigle qui encourage sa nichée : il plane au-dessus de ses petits, il déploie toute son envergure, il les prend et les porte sur ses ailes » (Dt 32, 11). En écho on lit dans le livre de l’Exode, au moment de la célébration de l’Alliance : « Tu diras ceci à la maison de Jacob... Vous avez vu vous-mêmes comment je vous ai portés sur des ailes d’aigle et vous ai fait arriver jusqu’à moi » (Ex 19, 4). Si bien que les ailes des chérubins dans le Temple prenaient encore une autre signification. Elles sont les ailes protectrices de celui qui apprend à Israël le chemin de la liberté.

    Toutes ces évocations d’une vie d’Alliance, d’intimité sans ombre sont peut-être la preuve que ce psaume a été écrit dans une période moins lumineuse ! Où l’on a bien besoin de s’accrocher aux souvenirs du passé. Tout n’est pas si rose et les derniers versets disent fortement, violemment même, l’attente de la disparition du mal sur la terre. Par exemple : « Ceux qui pourchassent mon âme, qu’ils descendent aux profondeurs de la terre »...  Israël attend la pleine réalisation des promesses de Dieu, les cieux nouveaux, la terre nouvelle, et la délivrance de tout mal et de toute persécution.

    L’expression « je te cherche dès l’aube... mon âme a soif » dit aussi que cette quête n’est pas encore comblée : Israël est le peuple de l’attente, de l’espérance : « Mon âme attend le Seigneur, plus sûrement qu’un veilleur n’attend l’aurore » (Ps 129/130, 6). Quand Jésus parle de veille, de vigilance dans la parabole des vierges sages et des vierges folles, c’est à cela qu’il pense : une recherche permanente de Dieu.

    Aujourd’hui à la suite du peuple juif, le peuple chrétien reprend à son compte cette prière, cette soif, cette attente : le psaume 62/63 fait partie de la prière des Heures du dimanche matin de la première semaine. Car dans la liturgie chrétienne, le dimanche, jour de la Résurrection du Christ, est le jour privilégié où nous célébrons la totalité du mystère de l’Alliance de Dieu avec son peuple, depuis l’aube de son histoire, dans l’attente de l’avènement définitif de son Royaume.

    Note :

    L’Arche d’Alliance est perdue depuis l’Exil à Babylone et personne ne sait ce qu’elle est devenue.

    Commentaires de Marie-Noëlle Thabut

     * Sainte Marie Madeleine

    Évangile selon saint Jean, chapitre 20, 1-18

    Le premier jour de la semaine, Marie-Madeleine se rend au tombeau de grand matin, alors qu'il fait encore sombre. Elle voit que la pierre a été enlevée du tombeau. Elle court donc trouver Simon-Pierre et l'autre disciple, celui que Jésus aimait, et elle leur dit : « On a enlevé le Seigneur de son tombeau, et nous ne savons pas où on l'a mis ».

     * Sainte Marie Madeleine

    Pierre partit donc avec l'autre disciple pour se rendre au tombeau. Ils couraient tous les deux ensemble, mais l'autre disciple courut plus vite que Pierre et arriva le premier au tombeau. En se penchant, il voit que le linceul est resté là ; cependant il n'entre pas. Simon-Pierre, qui le suivait, arrive à son tour. Il entre dans le tombeau, et il regarde le linceul resté là, et le linge qui avait recouvert la tête, non pas posé avec le linceul, mais roulé à part à sa place.

    C'est alors qu'entra l'autre disciple, lui qui était arrivé le premier au tombeau. Il vit, et il crut. Jusque-là, en effet, les disciples n'avaient pas vu que, d'après l'Écriture, il fallait que Jésus ressuscite d'entre les morts. Ensuite, les deux disciples retournèrent chez eux.

    Marie-Madeleine restait là dehors, à pleurer devant le tombeau. Elle se penche vers l'intérieur, tout en larmes, et, à l'endroit où le corps de Jésus avait été déposé, elle aperçoit deux anges vêtus de blanc, assis l'un à la tête et l'autre aux pieds. Ils lui demandent : « Femme, pourquoi pleures-tu ? ». Elle leur répond : « On a enlevé le Seigneur mon Maître, et je ne sais pas où on l'a mis ».

    Tout en disant cela, elle se retourne et aperçoit Jésus qui était là, mais elle ne savait pas que c'était Jésus. Jésus lui demande : « Femme, pourquoi pleures-tu ? Qui cherches-tu ? ». Le prenant pour le gardien, elle lui répond : « Si c'est toi qui l'as emporté, dis-moi où tu l'as mis, et moi, j'irai le reprendre ».

     * Sainte Marie Madeleine

    Jésus lui dit alors : « Marie ! ». Elle se tourne vers lui et lui dit : « Rabbouni ! » ce qui veut dire : « Maître » dans la langue des Juifs. Jésus reprend : « Cesse de me tenir, je ne suis pas encore monté vers le Père. Va plutôt trouver mes frères pour leur dire que je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu ».

    Marie-Madeleine s'en va donc annoncer aux disciples : « J'ai vu le Seigneur, et voilà ce qu'il m'a dit ».

    – Acclamons la Parole de Dieu –

    Texte fourni par La Croix - Croire

     * Sainte Marie Madeleine

    Commentaire 3 :

    C’est Marie-Madeleine qui a assisté la première à l’aube de l’humanité nouvelle ! Marie de Magdala, celle qui avait été délivrée de sept démons… elle est l’image de l’humanité tout entière qui découvre son Sauveur. Mais, visiblement, elle n’a pas compris tout de suite ce qui se passait : là aussi, elle est bien l’image de l’humanité !

    Et, bien qu’elle n’ait pas tout compris, elle est quand même partie annoncer la nouvelle aux apôtres et c’est parce qu’elle a osé le faire, que Pierre et Jean ont couru vers le tombeau et que leurs yeux se sont ouverts. A notre tour, n’attendons pas d’avoir tout compris pour oser inviter le monde à la rencontre du Christ ressuscité.

    Commentaire de Marie-Noëlle Thabut

     * Sainte Marie Madeleine

    Commentaire 4 :

    La première personne qui se hâte vers le sépulcre dans ce glorieux matin de la Résurrection, c'est Marie de Magdala, cette femme dont le Seigneur avait chassé sept démons (Marc 16:9 mc 16.9-13). Mais elle a été devancée puisque la pierre est déjà roulée. Elle avertit Pierre et Jean qui à leur tour courent au tombeau, y trouvent les preuves éclatantes de la résurrection et s'en retournent chez eux. Marie, elle, ne peut pas s'en aller. Toute à la pensée de retrouver son Seigneur bien-aimé (v. 13), même la présence des anges ne paraît pas la surprendre.

    Jésus ne peut pas laisser une telle affection sans réponse. Mais combien les pensées de Marie sont dépassées ! C'est un Sauveur vivant qui vient à elle, l'appelle par son nom et lui confie un message de la plus haute valeur. Car « l'attachement personnel à Christ est le moyen d'avoir une intelligence réelle » (J.N.D.). Jésus charge Marie d'annoncer à ses « frères » que sa croix, loin de l'avoir séparé d'eux, est à la base de liens tout nouveaux. Fait inestimable, son Père est devenu notre Père et son Dieu, notre Dieu. Jésus nous a placés pour toujours dans ces relations bienheureuses pour la joie de son propre cœur, pour celle du Père, et pour la nôtre (Ps. 22:23 ps 22.20-25; Héb. 2:11, 12 hb 2.10-13).

    Commentaire extrait de "BibleEnLigne.com"

     * Sainte Marie Madeleine

    Prière à sainte Marie-Madeleine

    Sainte Marie-Madeleine,

    toi qui as été pardonnée par Jésus, toi qui as beaucoup aimé ;

    Montre-nous le chemin de la conversion véritable et de la pureté du cœur.

    Par amour, tu as suivi Jésus pour le servir ;

    Apprends-nous à livrer gratuitement notre vie pour nos frères.

    Tu te trouvais près de la croix de Jésus auprès de Marie et Jean ;

    Obtiens la grâce de la foi et de l’espérance dans nos épreuves.

    Au matin de Pâques, tu as reçu de Jésus la mission d’annoncer

    la résurrection à ses disciples ;

    Aide-nous à croire que la vie est plus forte que la mort, que l’amour triomphe de tout.

    Par ton intercession, nous confions au Seigneur…

    Prière proposée par le Sanctuaire de la Sainte-Baume

     * Sainte Marie Madeleine

    Conclusion : Marie Madeleine, apôtre des apôtres

    Déesse du Nouveau Testament. Marie de Magdala est la femme la plus importante du ministère de Jésus, l’Apôtre des apôtres. En araméen, « magdala » signifie « élevée, grande ou magnifique », Même si elle a été la femme la plus diffamée et la plus calomniée de l’Église. Ironiquement, elle est devenue une sainte catholique vénérée dans le monde entier le jour de sa fête le 22 juillet. Elle représente dès lors un grand archétype d’Amour Infini pour Jésus. Elle inspire la vibration christique féminine.

    Grâce à la découverte des textes de Nag Hammadi en Égypte en 1945, on a pu découvrir l’évangile de Marie Madeleine et qu’elle a été une figure importante pour les gnostiques.

    Elle est celle qui a été la plus dévouée des premiers apôtres de Jésus de Nazareth, celle qui a le plus aimé le Christ, qui lui a donné sa vie, qui l’a suivie, celle à qui il a révélé ses plus sages enseignements.

    Certaines prétendent qu’elle a été l’épouse et la confidente de Jésus, qu’ils se sont aimés et ont eu des enfants et qu’elle a été une grande initiée d’Isis. Elle a incarné La Sophia.

    Ecole Féminin Masculin Sacré

    Synthèse de recherches mise en page par le Frère André B.

     * Sainte Marie Madeleine

    Méditation : Ô lumière du monde

    Ô lumière du monde ! Ô perle resplendissante !

    Vous qui en annonçant la résurrection de Jésus-Christ,

    êtes devenue, l'apôtre des apôtres,

    tenez-vous constamment en notre faveur auprès du trône de Dieu,

    dont vous êtes l'amie préférée.

    Soyez notre refuge et notre avocate.

    Prière proposée par le Sanctuaire de la Sainte-Baume

    Références :

    https://croire.la-croix.com/Definitions/Bible/Marie-Madeleine/Marie-Madeleine-et-son-enigme

    https://croire.la-croix.com/Definitions/Bible/Marie-Madeleine/Pourquoi-l-Eglise-fete-Marie-Madeleine

    https://croire.la-croix.com/Definitions/Bible/Marie-Madeleine/La-liturgie-de-la-messe-de-la-Sainte-Marie-Madeleine

    https://www.aelf.org/2019-07-22/romain/messe

    http://reveiletreforme.adventiste.re/?p=2009

    http://thierry.jallas.over-blog.com/2017/11/commentaires-de-marie-noelle-thabut-annee-liturgique-a-32e-dimanche-du-temps-ordinaire-12-novembre-2017.html

    http://gabriellaroma.unblog.fr/category/biblique-commentaires-de-marie-noelle-thabut/

    http://monialesdominicaines.saintebaume.org/prieresz.html

    https://femininmasculinsacre.com/feminin-sacre-deesse-du-jour-22-juillet-marie-madeleine/


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