• * Tav

    22ème lettre : Tav, l’étoile de vérité

     * Tav

    • Valeur numérique : 400
    • Planète : la Lune
    • Signification : le signe, la Croix
    • Rayonnement : Bleu nuit, cœur turquoise

     Notions - Clefs :

    • Oser être véridique. Ne pas mentir, à soi-même ou aux autres.
    • Prendre conscience du choix proposé par les circonstances.
    • Le moment est venu de s'engager dans la direction pressentie juste !
    • L’aboutissement de tout.
    • La révélation des structures.
    Symbolisme

    La lettre Tav est la marque, le signe, le symbole : le Sceau Divin.
    Dernière lettre de l'alphabet hébreu, elle représente l'aboutissement de la création et la totalité des choses créées. Notons que les trois dernières lettres de l'alphabet forment le mot rishet, qui veut dire : quadriller, montrant la création terminée, enveloppée et structurée.

    Origine

    Tav est issu du simple dessin d'une croix, qui n'a évidemment aucun rapport avec la croix chrétienne.
    L'idéogramme du Teth montrait une croix enfermée dans un cercle, la croix se retrouve avec Tav, mais cette fois libérée de la limitation du cercle. Ce cercle symbolisait l'emprise des cycles de 1, existence. La croix du Tav est totalement libre et peut rayonner dans les quatre directions à travers les quatre éléments de la nature et les quatre mondes mystiques. Cette croix montre le retour à l'unité de la source des quatre fleuves sortant de l'Eden, notre véritable racine (Shin).
    Avec Tav se termine l'alphabet mais également toutes les contraintes qui réduisent la lumière de l'âme, qui peut désormais révéler sa véritable nature.

    Signification

    Le nom Tav est un signe en forme de croix sur la selle d'un chameau, ce nom vient de la racine "tavah", supportant trois types de significations :
    1. "marquer","désigner", "dessiner".
    2. "être en deuil", "la peine".
    3. "habiter".
    Le mot 'tav" est très proche de "tohou"(de Tohu Bohu), qui désigne un chaos.

    Forme de la lettre

    La lettre Tav est formée par la réunion des lettres Daleth et Noun. Ces deux lettres forment le mot "dan", le "juge".

    Guématria

    La valeur numérique 400 de Tav, représente la vie dans la réunion des consciences essentielles, symbolisées par les 4 fleuves sortant de l'Eden.
    Il est intéressant de remarquer que "shékelim', "les consciences", possède cette guématria. De plus, Tav étant la vingt-deuxième lettre, faisant allusion aux 22 femmes saintes, il se trouve que le mot "nashim", "femmes", a 400 pour valeur numérique.
    La valeur pleine de Tav est égale à 406, comme pour le mot "atha", "toi", qui montre la reconnaissance mutuelle d'Aleph et de Tav, le commencement et la fin.

    * * * * *

    Le Rien et le Tout est le grand mystère de l’Œuvre.

    Choisir d'être sincère, avant tout envers soi-même, représente le premier pas sur le Chemin. C'est peut-être le pas le plus courageux.

    Le Pouvoir guérisseur de Tav est puissant. Cette Lettre est une aide précieuse pour le Chercheur de la Vérité intérieure. Tav est magnifique, mais elle est exigeante. Elle représente cette partie de nous-mêmes qui nous pousse à évoluer, à changer, et qui empêche la conscience de s'endormir.

    Lorsque Tav apparaît dans le tirage, cela signifie que notre âme demande plus de clarté dans notre vie ; une situation, une relation a besoin d'être éclaircie, d'être regardée autrement. Tav nous invite à nous remettre en question, à donner au Divin toutes nos certitudes, nos croyances anciennes, tout ce qui nous limite et ne peut franchir la Porte du Renouveau.

    En fait, Tav nous invite à « mourir à l'ancien ». Elle porte la vibration du mot hébreu Maveth, la mort, tout autant que celle du mot Emeth, la vérité. Cette mort n'est pas celle du corps physique mais bien au contraire celle de tout ce qui nous empêche d'être réellement vivants et heureux. C'est la mort des anciennes habitudes, des attaches et des freins qui empêchent notre âme de s'élancer, enfin libre, pour respirer l'Air pur le la Lumière divine.

    Marie Elia - Rencontres avec la Splendeur – Le pouvoir guérisseur des Lettres hébraïques – Éditions de l’Émeraude

    La lettre Tav, la dernière de l’alphabet hébraïque, a pour nombre 400 et est l’homologue de Daleth (4) et du Mem (40). Elle signifie « la marque », « le signe ». A l’origine, elle était représentée par une Croix. Puis, à partir du 12ème siècle, elle s’est redressée, formant le Tau grec et notre T actuel, auquel il s’est identifié, nous ne savons pas par quelle surprenante évolution.

    Pourquoi le signe de la Croix est-il à la base de la lettre Tav ? C’est peut-être parce que la Croix illustre le mieux ce que nous appelons les « symboles », mot qui signifie « lancé ensemble », c’est-à-dire réunir deux éléments qui étaient séparés. C’est le rapport du signifiant au signifié, dont ce dernier est apparemment séparé, mais qui, en réalité, est l’élément de base qui permettra de remonter à l’archétype dont il procède. Autrement dit, tout ce qui est divin est dans l’Unité, lorsqu’il s’exprime dans la manifestation, il se crucifie, car il entre dans la dualité. Tav est le cordon ombilical qui relie le haut au bas, qui est la voie de l’incarnation et, en même temps de la crucifixion. Chaque élément de la Création est relié par le cordon ombilical à son archétype, c’est-à-dire le signifié à son signifiant. A chaque niveau de création, la manifestation implique une crucifixion, parce que celle-là se fige dans l’espace-temps. Il y a un retrait du Divin dans une forme apparente qui cache l’archétype, mais qui non seulement en même temps l’exprime, mais qui porte en soi toute l’énergie nécessaire pour pouvoir remonter jusqu’à lui.

    Les Hébreux emploient le mot Tsintsoum pour parler de la contraction du Divin qui se cache dans le temps, moteur profond de l’évolution de chaque élément de la Création. Chaque fois que nous avons à franchir un échelon de l’échelle, nous sommes crucifiés à la terre à laquelle nous arrivons. Nous sommes des passagers sur cette terre, mais aussi sur toutes les terres intérieures que nous devons conquérir et qu’il faudra lâcher les unes après les autres, pour finalement les conquérir toutes. L’Arbre de la Connaissance du Bien et du Mal, ou plutôt de la dualité, sera alors totalement intégré.

    Adam a voulu goûter de cet Arbre avant d’avoir véritablement conquis toutes ses terres intérieures. Le drame a été au bout, c’est-à-dire la crucifixion du Divin qui descend dans le monde et crucifixion du monde qui doit retourner au Divin. Et c’est ce que nous vivons actuellement de façon très douloureuse.

    Deux aspects vont parfaitement illustrer cette descente et cette remontée. C’est le Shabat qui est l’objet du septième jour de la Création, quand tout a été mis en place et qu’il est dit : « Dieu se retire ». Nous en trouvons l’explication dans la manière dont se construit le mot Shabat. Beith se trouve au centre, c’est la Création et les deux lettres qui l’entourent forment le mot Cheth qui donnera le nom de Seth, frère redonné à Caïn à la place d’Abel qu’il a tué et qui est à la base de toute l’humanité, puisque c’est à partir de Seth que nous voyons apparaître tous ces Patriarches qui sont l’humanité en marche.

    Cheth qui veut dire « le fondement », « la base », est un mot très intéressant, parce qu’il est formé du Shin qui a pour valeur 300 et du TAV qui a pour valeur 400. Et vous vous souvenez que, par analogie le 3 et le 4 ont reçu l’ordre de ne jamais se séparer, parce que l’un est mouvement et l’autre structure. C’est le Guimel et le Daleth qui se réunissent dans un juste rapport, donnant le mot Gad, bonheur, ou encore toit de la maison. Nous les retrouvons tous les deux : le Shin = 300 qui est cette pierre des profondeurs,  notre noyau qui contient toute l’énergie, notre force musculaire, et le Tav qui représente les structures de ce Shin. C’est donc le fondement de tout être, de toute création et de chacun de nous en particulier.

    Ce retrait divin est un fait de base et le fondement même de la Création, Dieu se retire tout en ne se retirant pas, car s’Il se retirait, ce serait la fin de la Création qui n’aurait plus aucun pouvoir de retourner à son archétype. Il y aurait eu cet expire qui est la Création, mais il n’y aurait pas cet inspire qui est notre histoire. C’est cela le Shabat.

    Nous avons vu que le Beith est un même mot que le Bath, avec un Yod au milieu et qui est la deuxième lettre de l’alphabet, qui a la valeur 2 et qui signifie « la maison ». Or qu’est-ce que la maison ? C’est la fille grosse de Yod, c’est la Vierge d’Israël qui doit mettre au monde l’Enfant Divin. Elle est cette Vierge construite sur le Shin, cette force nucléaire à la base de la Création, qui est le noyau central à partir duquel chacun est programmé et duquel chacun de nous participe par le Nom secret que nous ne connaissons pas tant que nous ne le sommes pas devenus, mais vers lequel nous allons. Et ce Shin en nous qui forme le Shem, le nom, est cette force nucléaire par laquelle, lorsque nous avons trouvé un tout petit peu notre place dans le monde, nous commençons à être en communication, qui nous module, nous vibre et nous donne la possibilité du retour à l’Unité. Voilà ce qu’est le Shin pour chacun de nous, pour la rose, pour le moindre brin d’herbe. Il est notre être propre qui, à partir du moment où nous en devenons conscients, est à la base de notre processus d’évolution. L’évolution c’est la mise en rapport avec le Shin. C’est là encore une manière de lire le mot Shabat.

    Le Shabat, c’est-à-dire Dieu se retirant, tout en restant présent très discrètement, nous rend libres afin que nous puissions « jouer » avec Lui, Le nier ou Le faire vivre ou Le devenir. La véritable liberté est justement de devenir, c’est là que nous nous libérons au lieu d’être enchaînés, l’autre n’est qu’apparente. C’est le mot Tsemah, la germination, qui illustre le mieux le travail de la création. La germination, c’est le germe qui contient le Tsintsoum divin, la « Kenos » divine, comme l’appellent les Pères de l’Église. Vous voyez la contradiction apparente, il y a retrait divin dans le Tsintsoum et puis, à partir de là, Tsemah, la germination du Divin en chacun de nous, que nous l’acceptions ou le refusions, l’accomplissions ou non.

    La Création toute entière, comme notre histoire, est un immense tissu fait d’une trame et d’une chaîne qui sont d’une part le Shamaïn — le Shem, le germe en nous et, d’autre part, notre vie de chaque jour que nous assumons à travers toutes nos terres successives. Et c’est pourquoi le signe de la Croix est fondamental.

    Il est important de connaître le petit mot Eth, fait de la première et de la dernière lettre de l’alphabet, en grec nous dirions de l’Alpha et de l’Oméga. C’est pour les Chrétiens toute l’Apocalypse qui est basée sur ce travail de l’Alpha et de l’Oméga. C’est d’ailleurs pareil pour les Juifs, puisqu’ils disent que d’aller du Aleph au Tav, c’est accomplir toute la Loi, c’est arriver à l’Unité. Sous des formes différentes nous parlons le même langage.

    Ce mot Eth est si important qu’il ne se traduit pas. Il ne signifie pas quelque chose de formel, mais il contient tout dans l’informel. Lorsqu’Eve met au monde Caïn, elle dit : « J’ai acquis un homme » : Ish – Eth – Yod – He – Vav – He. On traduit Eth par « à l’aide de ». C’est un non-sens. ETH introduit un complément direct qui est la clef de toute la dimension de Yod – He – Vov – He, à savoir que Ish, l’Homme, même après la chute, reste à la ressemblance de Yod – He – Vov – He, avec toute la dimension de l’homme dans son devenir. C’est sa structure. Chacun de nous est ce Yod – He – Vov – He et chacun de nous participe au Nom sacré. Le drame exprimé par ce mythe de la chute, c’est l’homme qui a perdu le chemin de la ressemblance.

    Entre Aleph et Tav il y a tout le dynamisme de notre devenir, c’est toute notre évolution qui se profile. L’Homme reste intact, dit l’Eglise Orthodoxe, ce que nie l’Eglise Romaine. Ce petit ETH, c’est toute la Loi dans sa profondeur signifiante qui est ramassée de Aleph à Tav, qui recouvre non seulement le Judaïsme, mais aussi le Christianisme qui est contenu dans le Judaïsme, mais à d’autres niveaux de lecture.

    Les lettres s’étant présentées en commençant par la dernière, devant le Saint-Béni-Soit-Il, le Tav, donc la première à se présenter, avait toutes les raisons pour espérer obtenir de commencer la création du monde, se référant au mot Emeth (AlephMemTav) qui veut dire « vérité ». « Terminant ce mot, dit-elle, j’ai droit de présider à la création du monde ». Le Saint-Béni-Soit-Il la renvoie et lui dit : « Tu en es en effet digne, mais il ne convient pas que je me serve de toi pour opérer la création du monde, car tu es destinée à être marquée sur le front des fidèles qui ont observé la Loi du Aleph au Tav et à être mêlée ainsi à la mort ». C’est Aleph qui passe par des morts, c’est-à-dire par des crucifixions, ainsi que nous l’avons déjà dit.

    Le mot Emeth qui est aussi la Création, qui est l’Homme en particulier, allant de l’Aleph au Tav, passe par le Mem qui est la matrice dans laquelle se vit évidemment une mort. Non la mort telle que nous l’entendons, mais identifiée à une mutation, c’est-à-dire au début d’une germination fantastique. Le Christ va dire : « Je suis la Voie, la Vérité, la Vie ». Celui qui nous mène de l’Alpha à l’Omega à travers des mutations successives, c’est bien la dimension christique qui est le Chemin, la Vérité et la Vie, parce que la Vie est cette maternité. Les deux premières lettres du mot Emeth, c’est la mère. Et lorsque Pilate demande « Qu’est-ce que la Vérité ? », le Christ ne répond pas, mais Il va se faire crucifier. Il va répondre par son geste, par son être tout entier, accomplissant le mot Emeth.

    Dans sa réponse, Dieu dit que le Tav est réservé pour être mis sur le front des hommes restés fidèles à l’accomplissement de la Loi. Et le premier qui reçoit ce signe, c’est Caïn et pourtant, il n’a pas commencé par aller de l’Aleph au Tav. Encore une de ces contradictions de la Bible. Caïn a pris conscience de son immense erreur « Mon sort est dramatique, je vais être errant et vagabond sur la terre et quiconque me rencontrera me tuera ! » Dieu, à ce moment-là met le signe sur son front, afin qu’il soit protégé.

    C’est aussi ce même signe, le Tav, qui a été mis sur le fronton du portail des Hébreux le soir de Pâques quand, dixième plaie d’Egypte, l’Ange exterminateur va exterminer tous les aînés des fils des Egyptiens. Ce signe va protéger les enfants d’Israël. C’est la marque de ceux qui sont dans cette grande gestation du Aleph au Tav, parce qu’ils vivent une mort pour une résurrection. Car, s’il y a naissance, c’est bien ce passage de la Mer Rouge.

    De même, dans le Livre d’Ezéchiel ou dans l’Apocalypse, sont marqués ceux qui doivent entrer dans le Jérusalem Céleste, donc ceux qui sont arrivés jusqu’au Tav.

    Caïn, c’est l’homme qui, même s’il a commis un crime des plus dramatiques, reçoit toujours à nouveau la possibilité de son accomplissement. Dieu va aller le rechercher là où il se trouve pour lui reproposer l’alliance et lui permettre de repartir. Car si le crime de Caïn est abominable, le crime contre l’Esprit est pire encore.

    Tout ce qui est mystère pour les Chrétiens, le mystère de l’incarnation, Dieu qui se fait homme, est dû au fait que nous ne sommes pas encore arrivés au Tav. Notre intelligence actuelle ne peut le comprendre, comme elle ne peut définir Dieu, ni la preuve de Son existence. Nous en parlons intellectuellement, mais nous ne pouvons en parler par expérience. Personne, pour l’instant, ne peut parler du Tav.

    Het, c’est le non-temps, tandis que Eth, est le temps, la durée qui nous est donnée jusqu’à ce que nous ayons assumé toute la ténèbre et que nous fassions la totale lumière. C’est alors que nous entrerons dans le non-temps ; Het, que les physiciens nomment « l’ailleurs » et que l’on ne peut encore traduire. Vous trouverez en particulier Eth dans l’Ecclésiaste où il est dit : « Il y a un temps pour dormir, un temps pour se réveiller, un temps pour vivre, un temps pour mourir, un temps pour semer, un temps pour cueillir, etc… » C’est tout le temps des semailles à la moisson, toute la dualité que nous avons à assumer.

    Cet aspect de Tav qui me semble très important, je le relie au quatrième jour de la Création, à la mise en place des deux luminaires dans le Ciel, appelés le « Grand » et le « Petit », et que nous traduisons par « Soleil et Lune ». Mais en fait, cela dépasse de beaucoup le soleil et la lune extérieurs. Ce sont nos lumières intérieures présidant à nos montées dans la lumière et à nos descentes dans la ténèbre. Par analogie, Tav est lié à la mise en place des deux Arbres de l’Eden, dans le deuxième chapitre de la Genèse, l’Arbre de Vie et l’Arbre de la Connaissance de la dualité. Cette dualité dans laquelle nous trouvons toute l’incarnation, les deux branches de la Croix. Ces deux luminaires dans la première Genèse sont aussi symboles de l’Espace-Temps.

    En hébreu le mot « soleil » est Shemesh, il contient le Shem, c’est-à-dire le nom qui est aussi la place, le nom de celui qui a trouvé sa place et vice versa, de celui qui trouve sa place et qui trouve aussi son nom.

    Tous les textes bibliques lient la lune au temps. C’est pourquoi je fais ce parallèle avec les deux Arbres de la seconde Genèse qui sont liés à l’espace-temps, l’Arbre de la dualité étant lié à l’espace et l’Arbre de Vie au temps qu’on appelle non-temps. Le temps et l’espace sont la même réalité, car le temps nous est donné en fonction de l’espace que nous vivons, c’est-à-dire de notre champ de conscience du moment. Et selon les différents champs de conscience auxquels nous accédons, le temps sera différent. Nous le voyons sur le plan psychologique, mais c’est encore bien plus vrai sur le plan spirituel, celui de nos espaces intérieurs. Au fur et à mesure que nous nous élevons, nos espaces intérieurs, le temps, est de plus en plus court. Toutefois il est implacable, rigoureux.

    Si nous voulons aller trop vite, nous nous cassons la figure !

    Annik De Souzenelle – Les lettres hébraïques : des énergies vivantes – Revue Panharmonie – n° 176 – Mars 1979

    Synthèse de recherches mise en page par le Frère André B.

     Lien vers la prière à Tav     Lien vers la petite synthèse et la conclusion du dossier 


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